Citations sur l’Islam

1         Table des matières

2       Contre - Critiques négatives. 1

3       Pour – Eloges et défenses de l’Islam.. 19

4       Citation du prophète Mahomet (Muhammad). 25

5       Citations fausses et/ou contestées. 27

6       Citations sur le fanatisme, l’ignorance et l’aliénation. 28

7       Bibliographie. 28

 

2      Contre - Critiques négatives

 

Abu Bakr Mohammad Ibn Zakariya al-Razi, mathématicien, astronome, médecin, alchimiste, philosophe (865-925) :

• « Si les gens de cette religion (l'Islam) reçoivent des réflexions sur la preuve de la véracité et de l'authenticité de leur dogme, ils s'enflamment, deviennent hystériques et violents pour quiconque remet en doute leur doctrine. Ils interdisent la spéculation rationnelle et s'efforcent à tuer leurs adversaires, ceux qui se posent des questions les confrontent. Voila pourquoi la vérité avec ces gens-là est rapidement tue et masquée. ».

• « Vous annoncez que le plus pertinent des miracles est là : sous nos yeux, nommé le Coran. Vous dites : 'Quiconque dénie ce livre, laissez-le produire un tel pareil'. En effet, nous allons produire une centaine de similaires, dont les auteurs seront des rhéteurs, d'éloquents orateurs et de vaillants poètes qui savent beaucoup mieux formuler les phrases et qui sont dignes de dire les choses brièvement. Ils véhiculent leur message dans un meilleur sens et avec un rythme, mieux calculé. Par Dieu, ce que vous dites, nous étonnent ! Vous êtes vraiment en train d'aborder un travail qui compte d'anciens mythes incompréhensibles et qui de surplus sont gorgés de contradictions et d'erreurs en abondances, se refusant à toutes informations ou explications utiles. Et c'est ainsi que vous dites : 'Produisez-en un tel pareil' ? ».

 

- Omar Khayyam, écrivain, savant persan et poète d'origine perse (~1048-1122) :

"Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre" (Omar Khayyâm / 1048-1122 / Rubayat).

« Vous dites que des rivières de vin coulent au paradis.

Le paradis est-il-pour vous une taverne ?

'Vous dites que 72 vierges y attendent chaque croyant.

Ce paradis est-il-pour vous un bordel ? »

 

Averroès, théologien, juriste et médecin musulman andalou de langue arabe (1198-1126) :

« Si tu veux contrôler un ignorant, enveloppe chaque calomnie d’un manteau religieux et elle apparaitra comme une vérité » (voir aussi Mohammed Arkoun).

« L'ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine, la haine conduit à la violence... voilà l'équation ».

 

- Montaigne, philosophe et moraliste de la Renaissance (1533-1592) :

Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d'or et de pierreries, peuplé de garces d'excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, leur sens et entendement est entièrement étouffé en leur passion(Essais).

 

- Montaigne

« Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garces d’excellentes beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmieller et attirer par ces opinions et espérances convenables à notre mortel appétit », Montaigne, « Apologie de Raymond Sebond », Les Essais, livre II, ch. XII.

 

- Blaise Pascal, scientifique et philosophe français (1623-1662) " :

La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ? Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle félicité ?” (Les Pensées).

 

- Bossuet, écrivain, précepteur de Louis XIV, évêque de Meaux (1627-1704) :

"L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers". (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).

 

- Montesquieu, philosophe et écrivain français (~1689-1755) :

"C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée." (De l’Esprit des lois (1748),  livre XXIV, chapitre 4, Montesquieu, éd. Firmin Didot, 1864, p. 372).

"La religion des Guèbres  (Zoroastriens) rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire.".

 

- Condorcet, philosophe, économiste, mathématicien et homme politique français (1743-1794) :

« J'exposerai comment la religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, la moins absurde dans ses pratiques, la plus tolérante dans ses principes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire; tandis que nous allons voir briller le génie des sciences et de la liberté sous les superstitions les plus absurdes, au milieu de la plus barbare intolérance. La Chine nous offre le même phénomène, quoique les effets de ce poison abrutissant y aient été moins funestes ».

Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain (1793), Nicolas de Condorcet, éd. Masson, 1822, p. 132

 

- Claude Adrien Helvétius, philosophe, franc-maçon et poète français (1715-1771) :

"Mahomet, simple courtier d'Arabie, sans lettres, sans éducation, et dupe lui-même en partie du fanatisme qu'il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre et ridicule ouvrage nommé al-koran, d'avoir recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans un tel homme, ne pas reconnaître l'ouvrage du hasard qui le place dans le temps et les circonstances où devait s'opérer la révolution à laquelle cet homme hardi ne fit guère que prêter son nom ?".

 

- Jean le Rond D’Alembert, mathématicien, philosophe et encyclopédiste français (1717-1783) :

"Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu'on ne croit pour s'entendre; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine." (à vérifier si la source est : l’Encyclopédie).

 

- Voltaire, écrivain et philosophe français (1694-1778) :

Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et suggéré de nombreux commentaires. Voltaire considère Mahomet comme un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite15 dans son œuvre Le Fanatisme, qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire philosophique (Dictionnaire philosophique, Cosse et Gaultier,‎ 1838, « Alcoran », p. 40) :

 

« C’était un sublime et hardi charlatan que ce Mahomet, fils d’Abdalla. »,

Dictionnaire philosophique, Cosse et Gaultier,‎ 1838, « Alcoran », p. 40.

 

"Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n'est plus terrible qu'un peuple qui n'ayant rien à perdre, combat à la fois par espoir de rapine et de religion"

Questions sur l'Encyclopédie, Dictionnaire philosophique, Voltaire, éd. Garnier, 1736, tome 17, p. 106.  

 

"Mahomet le fanatique, le cruel, le fourbe, et, à la honte des hommes, le grand, qui de garçon marchand devient prophète, législateur et monarque".

 

"Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d'abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu'il croyait bonne".

Essai sur les mœurs, Voltaire, éd. Garnier, 1764, tome 11, p.

 

Dans son Essai sur les Mœurs, Voltaire évoquera toutefois le grand homme qui a changé la face d’une partie du monde :

« J’ai dit qu’on reconnut Mahomet pour un grand homme; rien n’est plus impie, dites-vous. Je vous répondrai que ce n’est pas ma faute si ce petit homme a changé la face d’une partie du monde, s’il a gagné des batailles contre des armées dix fois plus nombreuses que les siennes, s’il a fait trembler l’empire romain, s’il a donné les premiers coups à ce colosse que ses successeurs ont écrasé, et s’il a été législateur de l’Asie, de l’Afrique, et d’une partie de l’Europe »

Œuvres complètes de Voltaire, t. 24, Moland,‎ 1875, « Lettre civile et honnête à l’auteur malhonnête de la Critique de l’histoire universelle de M. de Voltaire (1760) », p. 64.

 

- Chateaubriand, écrivain et homme politique français (1768-1848) :

"Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétien: un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols." (Mémoires, XXIX, 12) "Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." (Mémoires d’Outre-tombe, 1828).

 

- Alfred de Vigny, écrivain français (1797-1863) :

"Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran)" (Journal d’un poète, été-automne 1829). "Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte". (Journal d’un poète, année 1831).

 

- Georg Wilhelm Friedrich Hegel, philosophe allemand (1770-1831) :

"Le plus grand mérite pourtant [de l’Islam] est de mourir pour la foi, et celui qui meurt pour elle en bataille, est sûr d'entrer au paradis." (retrouver la référence de cette citation).

 

- Alexis de Tocqueville (1805-1859),  philosophe politique, homme politique, historien, précurseur de la sociologie et écrivain français :

« Mahomet a placé dans le Coran non seulement des doctrines religieuses mais des maximes politiques et des lois criminelles » […].

« L'islam, c'est la polygamie, la séquestration des femmes, l'absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l'intérieur de la famille ».

(De la démocratie en Amérique).

« J’ai beaucoup étudié le Coran à cause surtout de notre position vis-à-vis des populations musulmanes en Algérie et dans tout l’Orient. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman et quoique moins absurde que le polythéisme antique, ses tendances sociales et politiques étant, à mon avis, infiniment plus à redouter, je la regarde relativement au paganisme lui-même comme une décadence plutôt que comme un progrès ».

Alexis de Tocqueville, 22 octobre 1843, dans Œuvres, papiers et correspondances d'Alexis de Tocqueville, paru chez Gallimard, 1962, t.2, p.25, Jean-Paul Mayer.

 

- Gustave Flaubert, écrivain français (1821-1880) :

« Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme » (Lettre àMme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier 1878).

 

- Monseigneur Louis Pavy, Évêque d'Alger (1805-1866) :

« Celui qui prétend être le prophète d'Allah devrait avoir des lettres de créances, c'est-à-dire la prophétie, les miracles et l'intégrité de l'ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu ». (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

- Ernest Renan écrivain, philologue, philosophe et historien français (1823-1892) :

"L'islam est contraire à l'esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu'il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l'esprit."16 (Ernest Renan / 1823-1892 / conférence à la Sorbonne, 1883).

"Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c'est l'état théocratique, comme l'islamisme et l'ancien Etat pontifical, où le dogme règne directement d'une manière absolue".

"Ce fut par ces traductions arabes des ouvrages de science et de philosophie grecque que l'Europe reçut le ferment de tradition antique nécessaire à l'éclosion de son génie".

« L'islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l'état de religion libre et individuelle, il périra. L'islamisme n'est pas seulement une religion d'État, comme l'a été le catholicisme en France, sous Louis XIV, comme il l'est encore en Espagne, c'est la religion excluant l'État... Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d'Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L'Islam est la plus complète négation de l'Europe; l'Islam est le fanatisme, comme l'Espagne du temps de Philippe II et l'Italie du temps de Pie V l'ont à peine connu; L'Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c'est l'épouvantable simplicité de l'esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à tout recherche rationnelle, pour le mettre en face d'une éternelle tautologie : Dieu est Dieu... ».

 De la part des peuples sémitiques dans l'histoire de la civilisation : discours d'ouverture du cours de langues hébraïque, chaldaïque et syriaque, au Collège de France, Ernest Renan, éd. M. Lévy frères, 1862, p. 27-28.

 

« L'islamisme a de belles parties comme religion ; je ne suis jamais entré dans une mosquée sans une vive émotion, et, le dirai je ? un certain regret de n'être pas musulman. Mais, pour la raison humaine, l'islamisme n'a été que nuisible ».

Œuvres complètes d'Ernest Renan, Henriette Psichiari, éd. Calmann-Lévy, 1947, t. 1, p. 957 (texte intégral sur Wikisource).

 

Schopenhauer, philosophe allemand (1788-1860) :

« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde » (Le Monde comme Vouloir et comme Représentation, 1844, Suppléments, XVII).

 

- Charles de Foucauld,  officier de l'armée française, devenu explorateur et géographe, puis religieux catholique, ermite et linguiste (1858-1916) :

« Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? (.) d'une manière générale, non (.) Dans cette foi le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non-musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l'engage à subir avec calme son épreuve ». (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

- Winston Churchill, homme d'État britannique, écrivain (1874-1965) :

« Que les horreurs laissées par le Mahométisme à ses sectateurs sont effrayantes ! Après la frénésie fanatique, aussi dangereuse chez un homme que la rage chez un chien, voici l'apathie fataliste, apeurée. Les effets se voient dans beaucoup de pays. Des coutumes inconséquentes, une agriculture négligée, un commerce léthargique, l'insécurité des biens, se voient partout où les fidèles du Prophète dominent ou vivent... Un sensualisme dégradé prive la vie de grâce et de raffinement. Le fait que sous la loi mahométane toute femme doit dépendre d'un homme comme sa propriété absolue, que ce soit comme enfant, épouse ou concubine, repousse la fin de l'esclavage jusqu'à ce que la foi islamique aura cessé d'exercer un grand pouvoir sur les hommes.

 « Combien redoutables sont les malédictions que la religion mahométane fait peser sur ses dévots! A côté de la frénésie fanatique, aussi dangereuse chez un homme que l’hydrophobie chez un chien, il y a cette effrayante apathie fataliste. Ses effets sont manifestes dans de nombreux pays. Une imprévoyance coutumière, une agriculture négligente, des méthodes de commerce léthargiques, une insécurité de la propriété existent partout où les fidèles du Prophète gouvernent ou vivent. Une sensualité avilie ôte à cette vie ses grâces et ses raffinements, et à la suivante sa dignité et son caractère sacré[...]. Les musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Loin d’être moribonde, la religion mahométane est une foi militante et prosélyte. Elle s’est déjà étendue à travers l’Afrique Centrale, dressant à chaque étape des guerriers sans peur ; et si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la science contre laquelle elle avait lutté en vain, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique ».

Autre traduction : « Des musulmans individuels peuvent montrer de brillantes qualités... mais l'influence de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent. Aucune autre force aussi rétrograde n'existe dans le monde. Loin d'être moribond, le Mahométisme est une foi militante et prosélyte. Il a déjà investi l'Afrique Centrale, suscitant des combattants sans peur à chaque étape. Si la Chrétienté n'était pas repliée dans les bras de la science, cette science contre laquelle elle a vainement lutté, la civilisation européenne pourrait s'écrouler comme s'est écroulée celle de l'antique Rome ».

Source : Winston Churchill, The River War: An Historical Account Of The Reconquest Of The Soudan, éd. Longmans, Green & Co, 1899, première édition, p248-250, pas de traduction française signalée.

 

- Mustapha Kémal, dit Atatürk, militaire, fondateur et premier président de la République de Turquie (1881-1938) :

« Depuis plus de cinq cents ans, les règles et les théories d'un vieux cheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la Constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu'il apprend à l'école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu'à ses pensées les plus intimes. L'Islam, cette théologie absurde d'un Bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies ».

Mustapha Kémal ou la mort d'un empire, Jacques Benoist-Méchin, éd. Albin Michel, 1954, p. 323.

Mustapha Kemal, 1920, dans Méhémet Ali, le fondateur de l'Égypte moderne, Guy Fargette, L'Harmattan, 1996, p.199.

 

 « Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l'Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu'elle nous a couté ! ». Ibid, p. 326.

« N'est-ce pas pour le Calife, pour l'Islam, pour les prêtres et pour toute cette vermine que le paysan turc a été condamné à saigner et à mourir pendant des siècles sous toutes les latitudes et sous tous les climats ? Il est temps que la Turquie songe à elle-même, qu'elle ignore tous ces Hindous et Arabes qui l'ont menée à sa perte. Il est grand temps, je le répète, qu'elle secoue définitivement le joug de l'Islam ! Voilà des siècles que le califat se gorge de notre sang ». Ibid, p. 332.

"Mais pourquoi nos femmes s'affublent-elles encore d'un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d'un homme ? Cela est-il digne d'un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu'elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n'aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple !"

Source : https://fr.wikiquote.org/wiki/Mustafa_Kemal_Atat%C3%BCrk

 

- Carl-Gustav Jung, médecin psychiatre suisse (1875-1961) :

"La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée". (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

- Bertrand Russell, mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique (1872-1972) :

« Parmi les religions, le bolchevisme doit être comparé à l'islam plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d’étendre leur domination sur le monde ».

The Practice and Theory of Bolshevism (1920), Bertrand Russell (trad. Wikiquote), éd. Allen and Unwin, 1920, p. 114.

 

Marc Bonnant :

« La critique du christianisme est critique; celle de l'islam, provocation. Pour l'islam, il n'y a que les croyants et les infidèles. Infidèles, nous le sommes, certes ».

« Hommage à Charlie Hebdo », Marc Bonnant, Le Matin (Suisse), 6 novembre 2011, p. 15

 

- Hermann von Keyserling, philosophe allemand (1880-1946) :

« Dès le commencement de la révolution allemande, je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l'islam et cette impression n'a fait que se préciser et s'affermir depuis. (...) Les vertus les plus simples et les plus élémentaires deviennent déterminantes, et ainsi nait du jour au lendemain, qu'il s'agisse du national-socialisme ou de l'islam, une nouvelle unité, dont la force et la tension sont immenses; et en face de cette unité on voit s'écrouler et se réduire à néant la plupart des différences précédemment importantes (dans le cas de l'islam, les différences entre les peuples et les cultures; en Allemagne, les classes et les partis) ».

La révolution Mondiale et la responsabilité de l'Esprit (1934), Hermann von Keyserling, éd. Librarie Stock, 1934, p. 134-135.

 

Bernard Lewis :

« Les ressentiments actuels des peuples du Moyen-Orient se comprennent mieux lorsqu’on s’aperçoit qu’ils résultent, non pas d’un conflit entre des États ou des nations, mais du choc entre deux civilisations. Commencé avec le déferlement des Arabes musulmans vers l’ouest et leur conquête de la Syrie, de l’Afrique du Nord et de l’Espagne chrétiennes, le "grand débat", comme l’appelait Gibbon, entre l’islam et la chrétienté s’est poursuivi avec la contre-offensive chrétienne des croisades et son échec, puis avec la poussée des Turcs en Europe, leur farouche combat pour y rester et leur repli. Depuis un siècle et demi, le Moyen-Orient musulman subit la domination de l’Occident — domination politique, économique et culturelle, même dans les pays qui n’ont pas connu un régime colonial [...]. Je me suis efforcé de hisser les conflits du Moyen-Orient, souvent tenus pour des querelles entre États, au niveau d’un choc des civilisations ».

« Introduction », Bernard Lewis (1957), dans Islam, Bernard Lewis (trad. Denis-Armand Canal, Jacqueline Carnaud, Dominique Férault, Odette Guitard, Tina Jolas, Denise Paulme et Rose Saint-James), éd. Gallimard, coll. « Quarto », 2005 (ISBN 2-07-077426-0), p. 55

 

« Beaucoup d'explications ont été, et sont encore, avancées pour élucider le peu de succès de la modernisation dans ces régions et les performances relativement limitées du monde arabe comparées à celles de l'Occident chrétien. La différence la plus frappante entre les deux, relevée par la quasi-totalité des voyageurs, est la différence de statut des femmes. En 1867, Namik Kemal, comparant le monde musulman et l'Occident, écrivait que le premier était comme « un corps humain paralysé d'un côté ». Parce qu'elle affecte la moitié de la population, et l'éducation de l'autre moitié, cette différence est évidemment de la plus haute importance ».

« Bernard Lewis : Quand l'islam s'est refermé », propos recueillis par Marie-Françoise Leclère et Pierre Beylau, Le Point, nº 1564, 6 septembre 2002, p. 104 (lire en ligne)

 

- Claude Levi-Strauss, anthropologue (1908-2009) :

« Les brefs contacts que j’ai eus avec le monde arabe m’ont inspiré une indéracinable antipathie. Il m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. [On ne peut que] constater combien la France est en train de devenir musulmane.

Déjà l’Islam me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre, et contradictoire en elle-même : son souci de fonder une tradition s’accompagne d’un appétit destructeur de toutes les traditions antérieures.

Dans la civilisation musulmane, les raffinements les plus rares – palais de pierres précieuses, fontaines d’eau de rose, mets recouverts de feuilles d’or – servent de couverture à la rusticité des mœurs et à la bigoterie qui imprègne la pensée morale et religieuse.

Sur le plan moral, on se heurte à une tolérance affichée en dépit d’un prosélytisme dont le caractère compulsif est évident. En fait, le contact des non-musulmans les angoisse.

Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande) simplicité. Vous inquiétez-vous de la vertu de vos épouses ou de vos filles ? Rien de plus simple, voilez-les et cloîtrez-les. C’est ainsi qu’on en arrive à la burka moderne, semblable à un appareil orthopédique.

Si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement, revues de détail et soins de propreté, promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes. (…) Ils compensent l’infériorité qu’ils ressentent par des formes traditionnelles de sublimations qu’on associe depuis toujours à l’âme arabe : jalousie, fierté, héroïsme.

Cette religion se fonde moins sur l’évidence d’une révélation que sur l’impuissance à nouer des liens au-dehors. En face de la bienveillance universelle du bouddhisme, du désir chrétien de dialogue, l’intolérance musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s’en rendent coupables. S’ils ne cherchent pas toujours, de façon brutale, à amener l’autre à partager leur vérité, ils sont pourtant incapables de supporter l’existence d’autrui comme autrui.

Le seul moyen pour eux de se mettre à l’abri du doute et de l’humiliation consiste dans une « néantisation » d’autrui » (Extraits choisis de Tristes tropiques, Presses Pocket, pp. 475-490).

 

- Charles de Gaulle, militaire, résistant, homme d'État et écrivain français (1890-1970) :

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! ».

Source : Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte, le 5 mars 1959, suite aux événements d'Algérie.

C’était de Gaulle, tome 1, Alain Peyrefitte, Editions de Fallois/Fayard, 1994 (ISBN 978‐2‐213‐02832‐3), p. 52

 

- « Si une communauté n'est pas acceptée, c'est parce qu'elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c'est parce qu'elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs » (Dans De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd., Plon).

 

Roger Peyrefitte :

« [...] la morale islamique, qui est le contraire de la morale chrétienne, en ce qu’un péché n’est pardonné que si on ne l’avoue pas. En effet, si on avoue un péché, la honte en retombe sur la famille et sur la tribu tout entières. Mais il y a une façon de réparer un tort, quand il a été prouvé autrement : on indemnise la partie lésée ».

Propos secrets 2, Roger Peyrefitte, éd. Albin Michel, 1980.

 

- André Malraux, écrivain, aventurier, homme politique et intellectuel français (1901-1976) :

« La nature d'une civilisation, c'est ce qui s'agrège autour d'une religion. Notre civilisation est incapable de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera.

C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l'origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n'ont trouvé la réponse. Le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’État. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis "musulmane", je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu'en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps... Actuellement, il est trop tard ! Les «misérables» ont d'ailleurs peu à perdre.

Ils préféreront conserver leur misère à l'intérieur d'une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l'avenir de leur race. L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution. ».

André Malraux, 3 juin 1956, dans Dossier : Un siècle religieux, paru Valeurs Actuelles n° 3395 (21 Décembre 2001), Elisabeth de Miribel (sténo).

Sources : a) http://www.lexpress.fr/actualite/societe/enqu-ecirc-te-sur-la-mont-eacute-e-de-l-islam-en-europe_483223.html  & b) Institut Charles de Gaulle.

 

"Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps... Actuellement, il est trop tard ! [...] Le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam, tout ce que nous pouvons faire c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution". (Trouver la source et vérifier cette citation).

"Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, et le seul ennemi commun qui existe est l'Islam" (campagne présidentielle de 1974).

 

- Ibn Warraq, pseudonyme d'un écrivain américain (1946-...) :

"Les militants islamistes n'ignorent pas que l'islam est incompatible avec les principes de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Ils se sont réunis à Paris en 1981 pour rédiger une Déclaration Islamique des Droits de l'Homme qui occulte toutes les libertés qui contredisent la loi islamique. Plus préoccupant encore est le fait que sous la pression des États musulmans, l'article 18 de la Déclaration des Nations unies a été révisé en novembre 1981. La liberté de religion et le droit de changer de religion ont été supprimés et seul le droit d'avoir une religion fut conservé".

"Alors qu'on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l'impérialisme occidentaux [...], l'impérialisme arabe est au contraire présenté comme un objet de fierté pour les musulmans. [...] Personne ne s'avise de faire remarquer que l'islam a colonisé des territoires qui appartenaient à des civilisations anciennes, et que ce faisant, il a écrasé et réduit à néant de nombreuses cultures".

"N'y a-t-il meilleur symbole de soumission à l'impérialisme musulman que l'image du peuple algérien qui se prosterne cinq fois par jour vers son conquérant situé en Arabie."

"L'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre !"

"L'essor du fascisme et du racisme en Occident est la preuve que tout le monde n'est pas amoureux de la démocratie. Par conséquent, la bataille finale ne sera pas nécessairement entre l'islam et l'Occident mais entre ceux qui attachent du prix à la liberté et ceux qui n'en attachent aucun".

Pourquoi je ne suis pas musulman, 1995.

 

« "Attention aux amalgames !" entend-on ressasser sur tous les tons dans les milieux bien-pensants de toute origine et de toute confession... A écouter ces belles âmes, l'islamisme ne serait qu'une dérive qui n'aurait "rien à voir", mais alors, on vous l'assure, rien de rien, avec "le véritable islam", lequel serait, en son tréfonds, une idyllique religion de paix, de fraternité et de tolérance... Pourtant, n'est-il pas curieux que ce ne soit qu'à propos de cette religion que l'on juge bon d'ajouter l'adjectif "modéré" pour tenter d'accréditer l'idée qu'à côté "d'une petite minorité" de quelques excités fanatiques, "assurément non représentatifs", "l'immense majorité" du milliard de musulmans dans le monde "d'ailleurs divisés en rites divers et variés", serait composé de "paisibles citoyens" qui penseraient "leur spiritualité" et pratiqueraient "leur foi" avec la même sérénité que "tous les autres croyants" ? La vérité, braves gens, est quelque peu différente : s'il existe, bel et bien, et Allah merci ! des "musulmans modérés", nos frères en humanité, l'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre ! »

Ibn Warraq, 1er octobre 2001, dans Le Figaro, paru Le vrai visage de l'islam, aux éditions Kyrollos, 2004, p.171, M.Alcader.

 

Philippe de Villiers, homme politique :

« Quant à la laïcité, c'est un concept totalement inconnu en islam. Il n'existe d'ailleurs pas de mot arabe pour le traduire. L'islam est un système politico-religieux qui se présente comme un tout. A Médine, Mahomet a fondé le premier État islamique du monde, il y a exercé tout à la fois le principat et le pontificat. Par sa structure fondamentale, l'islam voit une unité insécable là où le christianisme cultive une distinction créatrice, impliquant en principe la collaboration entre les deux pouvoirs et non la confusion ou la soumission de l'un vers l'autre.

 L'islam est un régime total, c'est-à-dire à la fois religion et État ».

Le moment est venu de dire ce que j'ai vu, Philippe De Villiers, éd. Albin Michel, 2015, p. 312.

 

Éric Werner :

« La maison de servitude, c’est en fait l’islam lui-même. Il en est une reconstitution à l’époque moderne, en plus dur encore d’ailleurs. Il ne faut donc pas s’étonner de l’écho qu’il suscite à notre époque. Beaucoup de gens, en effet, ne rêvent qu’à une chose, en revenir à la maison de servitude. Ils sont fatigués de la liberté, n’aspirent qu’à en être débarrassés. Qu’à cela ne tienne, l’islam les en débarrasse. Il leur offre tout ce qu’ils désirent, des lois strictes et des peines sévères à ceux qui les enfreignent. Les gouvernants eux aussi sont séduits. L’islam leur facilite la tâche, c’est une idéologie qui leur convient ».

En réponse à la question de ce que désigne le titre de son livre (dans l’Ancien Testament, la Maison de servitude désigne l’Égypte pharaonique).

Éric Werner, 26 mai 2006, dans Eric Werner s'explique sur « La Maison de Servitude ».

 

- Ayaan Hirsi Ali, femme politique et écrivaine néerlando-somalienne (1969-...) :

"L'islam actuel n'est pas compatible avec les présupposés de l'Etat de droit occidental."

"En tant que croyance et doctrine, l'islam est politique, culturel, social et militaire. Tout cela est inclus dans le livre saint : le Coran, révélé par le prophète Mohamed dont la vie doit être un modèle pour tous les musulmans. En cela l'islam veut nier toute distinction entre les personnes et toute différence de comportement. Nier le concept d'individu."

"Comme les milliers de personnes qui ont manifesté contre les caricatures danoises, j'ai longtemps cru que Mahomet était parfait - qu'il était la seule source du bien, le seul critère permettant de distinguer entre le bien et le mal. En 1989, quand Khomeiny a lancé un appel à tuer Salman Rushdie pour avoir insulté Mahomet, je pensais qu'il avait raison. Je ne le pense plus [...]" (« Je suis une dissidente de l'islam », Le Monde,‎ 16 février 2006).

(a) De zoontjesfabriek [« L'usine à gamins »], Uitgeverij Augustus,‎ 2008, 94 p., b) Ma vie rebelle [« Infidel »], Paris, Nil Editions,‎ 2006, 508 p., c) Insoumise (trad. Josie Mijlstra), Éditions Robert Laffont,‎ 2005, 216 p., d) Nomade, De l'Islam à l'Occident un itinéraire personnel et politique [« Nomad »] (trad. Johan Frédérik Hel-Guedj), Éditions Robert Laffont,‎ 2010, 400 p.).

 

- Amir Jahanchahi, Iranien, fondateur du mouvement d'opposition iranien la « Vague Verte » : "L'islamisme est une idéologie de destruction de masse. Elle propage le chaos [.] elle abolit ce qui différencie l'homme de l'animal : la liberté de pensée, d'expression, de vivre. [.]. Là où d'autres idéologies - le nazisme, le fascisme, le communisme - ont échoué, l'islamisme peut réussir".

 

- Maurice-Georges Dantec, écrivain français naturalisé canadien (1959-...) :

"L'islam est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l'Islam ?"

"Les musulmans, et pire encore les musulmanes, sont les premières victimes de l'Islam."

"Il n'y a pas d'Islam militant et d'Islam modéré. Il n'y a que des variations d'intensité. Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement". (Trouver la source et vérifier ces citations).

« L'Islam, ce communisme du désert ».

American Black Box (2006), Maurice G. Dantec, éd. Albin Michel, coll. « Livre de Poche », 2009, p. 287

 

- Michel Onfray, philosophe et essayiste français (1959-...) :

"L'islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l'intolérance, l'abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l'opposition à l'absolutisme politique, la fin de toute religion d'Etat, la proscription de la pensée magique, l'élargissement de toute liberté de pensée et d'expression, la promulgation de l'égalité des droits, la considération que toute loi relève de l'immanence contractuelle, la volonté d'un bonheur social ici et maintenant, l'aspiration à l'universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate..."

"Et pour un Averroès, ou un Avicenne - ces prétextes tellement utiles... - combien d'imams hyper mnésiques ?".

Traité d'athéologie, Michel Onfray, éd. Livre de Poche, 2006 (ISBN 2-253-11557-6), p.

 

- Éric Werner, philosophe et essayiste suisse (1940-...) :

"La maison de servitude, c'est l'islam lui-même. Beaucoup de gens, ne rêvent qu'à une chose, en revenir à la maison de servitude. Ils sont fatigués de la liberté, n'aspirent qu'à en être débarrassés. Qu'à cela ne tienne, l'islam les en débarrasse. Il leur offre tout ce qu'ils désirent, des lois strictes et des peines sévères à ceux qui les enfreignent. Les gouvernants eux aussi sont séduits. L'islam leur facilite la tâche, c'est une idéologie qui leur convient". (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

- Robert Redeker, professeur agrégé de philosophie (1954-...) :

« L'islam essaie d'imposer à l'Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d'un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l'école, accusation d'islamophobie contre les esprits libres. Comment expliquer l'interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? » ;

« Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran » ;

« Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. ».

« […] l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine ».

(Source : « Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? » Le Figaro, 19 septembre 2006).

 

- Etienne Gilson, philosophe et historien français (1884-1978) :

« Le monde de l'Islam, dont les savants avaient favorisé de façon décisive la naissance et l'essor de la philosophie scolastique, se ferma lui-même à la philosophie au moment ou le monde chrétien lui faisait largement accueil. Les résultats sont là. Ernest Renan les a constatés avec lucidité dans la conférence qu'il fit en Sorbonne, le 29 mars 1883, sur "l'Islamisme et la science". Une éducation exclusivement consacrée à inculquer aux enfants la foi coranique a produit des générations dont, jusqu'à la fin du XIXe siècle, l'esprit est resté imperméable à toute influence venue d'ailleurs. On ne connaît pas d'exemple comparable d'une stérilisation intellectuelle de peuples entiers par la foi religieuse. Si l'on doute de l'effet produit sur les intelligences, il suffit de comparer ce que fut le peuple berbère et, généralement parlant, les peuples habitant l'Afrique du Nord, avant leur conquête par l'Islam et ce qu'ils sont devenus depuis. Presque tous les Pères latins sont des Africains. Tertullien de Carthage, le Numide Arnobe de Sicca et son élève Lactance, saint Cyprien de Carthage, Victorinus l'Africain, le Berbère saint Augustin, bref toute cette glorieuse tête de colonne de la patristique latine [...], que de dons splendides de l'Afrique à l'Église de Rome pendant que celle-ci n'avait encore à mettre en balance que saint Ambroise et saint Jérôme ! »

Le philosophe et la théologie (1960), Étienne Gilson, éd. Vrin, 2005, p. 175-176

 

- Albert Jacquard, chercheur et essayiste français (1925-2013) :

"Le fait que Mahomet ait écrit le Coran sous la dictée de l'ange Gabriel est non seulement absurde, mais dangereux : du fait de leur caractère sacré, on ne peut plus rien changer à ces écrits, et l'islam risque de se retrouver de plus en plus décalé par rapport au monde contemporain."

"Si le foulard n'était qu'une façon de s'habiller, il ne poserait pas problème. Mais le - foulard islamique - est une façon d'affirmer qu'une jeune musulmane, pour être fidèle à sa religion, doit le porter. Il s'agit donc d'une pression sur celles qui jugent bon de n'en pas porter. A ce titre, il ne peut être toléré". (Trouver la source et vérifier ces citations).

 

- Henri Pena-Ruiz, philosophe et écrivain français (1947-...) :

"Un problème social doit être traité par des mesures sociales, et ce n'est pas parce que quelqu'un souffre d'injustice sociale qu'il faut l'abandonner à la compensation illusoire de l'intégrisme, douteux supplément d'âme. Il est par ailleurs aberrant d'assimiler toute critique de l'Islam politique à un acte de racisme". (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

Jack-Alain Léger, romancier et chanteur français (1947-2013) :

"Ils en ont assez enduré pour savoir que l'écart entre islam et islamisme n'est pas si grand, que la différence entre les deux entités n'est pas question de nature mais d'intensité. L'islamisme est de l'islam à un autre degré, sa variante meurtrière. L'islamisme est la métastase de ce mal, l'islam".

(Trouver la source et vérifier cette citation).

 

Raoul Vaneigem, écrivain, philosophe situationiste belge (1934-...) :

"Les femmes du monde arabe savent bien que leur combat pour l'émancipation implique à la fois la fin du pouvoir patriarcal, dont la plupart des hommes se font les complices, et l'éradication d'une religion qui en justifie la prépondérance". (Trouver la source et vérifier cette citation).

 

John O'Neill, historien :

« Après les invasions germaniques et asiatiques, les peuples d'Europe de l'ouest, nous dit-on, sont retournés à la vie dans des huttes de torchis aux toits de chaume. Les villes étaient détruites et abandonnées, l'art de l'écriture virtuellement perdu, et la masse de la population laissée dans un état d'ignorance par une église obscurantiste et fanatique, qui complétait efficacement le travail de destruction des barbares. Dans cette époque d'obscurité, les Arabes apportèrent aux septième et huitième siècles comme un rayon de lumière. Tolérants et éduqués, ils ramenaient la connaissance des sciences de l'antiquité en Europe et, sous leur influence, les Occidentaux amorcèrent leur long retour à la civilisation... C'est une vision du passé complètement et outrageusement fausse. En fait, il serait difficile de concevoir un récit plus éloigné de ce qui s'est réellement passé. Et, si choquant que ce puisse paraître, les historiens le savent depuis des générations.

La vérité est que quand les Arabes ont atteint le sud de l'Italie et de l'Espagne ils ont trouvé non pas un ramassis de sauvages primitifs, mais une civilisation latine hautement sophistiquée, riche en villes, agriculture, art et littérature, et dirigée par des rois goths complètement romanisés. Comment le savons-nous ? Eh bien, les Arabes eux-mêmes le disent ; et leur témoignage a été confirmé formellement par des preuves documentaires et archéologiques.

Cela posé, il est vrai qu'à partir de la fin du septième siècle, ou au tout début du huitième, cette florissante civilisation classique s'effondra, assez soudainement. Et le monde médiéval qui nous est familier prit forme : les villes déclinèrent et furent parfois abandonnées, le commerce diminua, la vie devint plus rurale, les arts déclinèrent, l'illettrisme prévalut, et le système féodal, qui fragmentait les royaumes d'Europe occidentale, prit forme. Dans les années qui suivirent, l'Eglise devint la seule source d'éducation et d'administration, et une économie de troc remplaça largement le système monétaire. Quand des monnaies étaient frappées, c'était en argent plutôt qu'en or comme auparavant, jusque dans la première partie du septième siècle. Le Moyen-âge commençait.

Qui ou quoi a produit cette situation ? Dès les années 1920, le médiévaliste belge Henri Pirenne découvrit le proverbial fusil fumant. Il n'était pas dans les mains des Goths ou des Vandales, ou de l'Eglise Chrétienne : c'étaient celles de ce peuple qu'il était déjà à la mode de créditer du sauvetage de la civilisation occidentale : les Arabes. Le commerce avec les grandes concentrations de population et de culture du Levant, un commerce qui avait été un élément essentiel de la prospérité à l'ouest de l'Europe, s'achevait. Le flot d'articles luxueux que Pirenne trouva dans les registres des Wisigoths d'Espagne ou des Mérovingiens de Gaule finit soudainement, parce que les Arabes écumaient les mers [mettant fin à l'ensemble des échanges entre l' Europe et les grands centres de la civilisation du Proche – Orient]. L'or cessa d'arriver, et les grandes cités d'Italie, de Gaule et d'Espagne, particulièrement les ports, qui devaient leur prospérité au commerce méditerranéen, devinrent des villes fantômes. Le pire de tout, peut-être, dans la perspective de la culture et de l'éducation, l'importation de papyrus d'Egypte cessa. Ce produit, qui avait été amené en grandes quantités par bateau en Europe de l'ouest depuis le temps de la République Romaine, était absolument essentiel pour d'innombrables usages dans une société mercantile et cultivée ; et la fin de cet apport eut un effet immédiat et catastrophique sur les niveaux d'utilisation de l'écrit. Il s'effondra jusqu'à des niveaux peut-être équivalents à ceux des temps préromains ».

« En tant que puissance dominante de l'époque, les idées provenant du monde islamique ont maintenant commencé à pénétrer en Europe. De leurs ennemis musulmans, les chrétiens européens ont commencé à penser en termes qui auraient été inimaginables un siècle plus tôt. L'idée de la guerre sainte est entrée dans l'esprit des chrétiens, et, sous l'influence de l'Islam, le rationalisme de la Grèce et de Rome ont commencé à être remplacée par une interprétation littérale et intolérante du Livre. La civilisation classique était morte. »

Source :  Holy Warriors : Islam and the Demise of Classical Civilization [Guerres saintes : l'Islam et la disparition de la civilisation classique], John O'Neill, Ed. Felibri.com, 2009, page 1-2 (retranscrit et traduit dans « La psychologie de Mahomet et des musulmans », Ali Sina, ed. Tatamis, 2014, pages 4128-429).

Note : dans cet ouvrage, John O'Neill soutient la thèse que la destruction de la civilisation romaine est due aux invasions arabes et non à l'instauration du Christianisme ou aux invasions barbares, comme on le croit couramment. Pour lui, les Croisades, par exemple, n'étaient pas un acte d'agression contre un monde musulman calme et paisible, mais une mesure défensive contre un islam toujours agressif et en pleine expansion.

Sources : a) https://ojs.lib.byu.edu/spc/index.php/CCR/article/download/12941/12805

b) https://www.goodreads.com/book/show/6872641-holy-warriors, c) https://books.google.fr/books?id=j5rNDZSpD70C&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

 

Interview du roi du Maroc Hassan II par la journaliste Anne Sinclair le 16 mai 1993 :

- Anne Sinclair : Souhaiteriez-vous qu'ils soient intégrés en France ? Le principe même de l'intégration, est-ce que vous êtes pour, ou contre ?

- Hassan II : Je n'aimerais pas du tout qu'ils soient l'objet d'une tentative d'intégration, car ils ne seront jamais intégrés.

- AS :  Vous croyez qu’eux ne le veulent pas, ou que les Français les refusent ?

- Hassan II : L'exprimeraient-ils, qu'ils ne le pourront pas. C'est possible entre Européens, la trame est la même, les mouvements européens dans l'histoire ont été est-ouest, mais là c'est entre continents, et vous n'en avez que faire, ce seront de mauvais Français.

- AS : Vous nous découragez de chercher à intégrer ?

- Hassan II : Je vous décourage en ce qui concerne les miens, les Marocains, d'essayer un détournement de nationalité, car ils ne seront jamais 100% français, ça je peux vous l'assurer.

Source : http://grincheux.typepad.com/weblog/2011/01/interview-du-roi-du-maroc-par-anne-sinclair.html

 

Ayaan Hirsi Ali, députée néerlandaise d'origine somalienne :

"L'islam n'est pas une race. L'islam est uniquement un ensemble de croyances ; et il n'y a rien d'islamophobe à affirmer que l'islam est incompatible avec la démocratie".

 

Ayaan Hirsi Ali, :

« Dans le monde musulman, l'homophobie est institutionnalisée. La loi islamique, telle qu'elle est tirée des Écritures et a évolué au fil des siècles, ne se borne pas à condamner l'homosexualité, elle la punit par des sanctions extrêmement cruelles. De nombreux pays à majorité musulmane ont des lois qui criminalisent et sanctionnent l'homosexualité conformément à la loi islamique. Il n'est donc pas étonnant que, dans ces pays, les musulmans soient homophobes et que beaucoup le demeurent après avoir émigré en occident ».

« L'universitaire néerlandais Rudolph Peters note que la plupart des courants du droit islamique proscrivent l'homosexualité, la seule différence entre eux étant le mode de châtiment. Pour les malékites, et une partie des chafiites et des hanbalites [différents courants de l'islam sunnite], comme pour les chiites, le châtiment doit être la mort, soit par lapidation (malékites) soit par décapitation (certains chafiites et hanbalites), soit selon l'appréciation du tribunal — le coupable peut alors être décapité, lapidé, jeté d'un toit ou brûlé vif — (chiites) ».

« Le coupable de la tuerie d'Orlando était né aux États-Unis. Le problème ne vient donc pas des armes ni de l'immigration. Il découle d'une idéologie extrêmement dangereuse qui est en train de gangrener la société américaine sous le couvert de la religion. L'homophobie se manifeste sous différentes formes, mais à notre époque, aucune n'est aussi dangereuse que la version islamique ».

Extraits du Wall Street Journal, daté du 13 juin 2016.

« Une homophobie qui vient de loin », Ayaan Hirsi Ali, Courrier international, nº hors-série, novembre-décembre 2016, p. 62. Source : https://fr.wikiquote.org/wiki/Ayaan_Hirsi_Ali

 

"Mon idée centrale ? c'est que l'islam opprime et interdit le progrès social à ses fidèles, femmes et hommes. Il crée une culture qui reste figée dans les mœurs d'un lointain passé. Il vaudrait mieux pour tout le monde, et surtout pour les musulmans, que cela puisse changer.

[...] Les Occidentaux ont appris à ne pas examiner la religion et la culture des minorités de façon trop critique, de crainte d'être taxés de racisme. Cela les fascine [alors] que, moi, j'ose le faire".

Si nous, qui avons grandi dans l'Islam, nous trouvons le courage d'affronter la réalité des horreurs que justifie notre religion, nous pouvons changer notre destin.

"Quand j'ai demandé son aide à Theo pour réaliser "Submission", j'avais trois messages à faire passer. Le premier, c'était que les fidèles peuvent, comme les femmes du film, lever les yeux et parler à Allah, engager un dialogue avec Lui, et remettre en question Sa parole. Le deuxième, c'était que l'interprétation rigide du Coran par certains musulmans impose aux femmes des souffrances intolérables. Avec la mondialisation, de plus en plus de ces hommes viennent s'installer en Europe avec les femmes qui leur appartiennent et qu'ils brutalisent, et il n'est plus possible pour les Occidentaux d'ignorer ces sévères violations des droits humains. Elles se commettent à Bristol, Rotterdam, Hambourg, Lille. Le troisième message est dans la phrase finale du film : "Je ne pourrai plus me soumettre". On peut se libérer : adapter sa foi, l'examiner de manière critique, et déterminer à quel point elle est elle-même à la base de notre oppression.

On me dit que "Submission" est un film trop agressif. Que les musulmans souffrent de cette critique. Combien plus grande est la souffrance de ces femmes, enfermées dans cette cage ?".

"Le message de cet ouvrage, s'il doit en avoir un, c'est que nous n'avons pas le droit de prolonger la souffrance causée par cette transition [passage d'un pays musulman à un pays occidental] en élevant des cultures bigotes et misogynes au rang de choix de vie tout à fait respectables".

Ma vie rebelle, Ayaan Hirsi Ali, Pocket, 2008. Source : https://www.babelio.com/auteur/Ayaan-Hirsi-Ali/118114

 

"Bien sûr l'écrasante majorité des musulmans ne sont pas terroristes ou n'ont de sympathie pour les terroristes.  Assimiler tout les musulmans à des terroristes est stupide et incorrect.  Mais reconnaître qu'il y a un lien entre islam et terrorisme est approprié et nécessaire."  Ayaan Hirsi Ali

 

"J'ai été musulmane, souvenez-vous, et c'est quand j'étais le plus dévote que j'étais le plus remplie de haine."  Ayaan Hirsi Ali

 

"Je ne vois aucune différence entre islam et islamisme.  L'islam est défini comme étant la soumission à la volonté d'Allah, telle qu'elle est décrite dans le Coran.  L'islamisme c'est juste l'islam dans sa forme la plus pure."  Ayaan Hirsi Ali

 

"Une femme occidentale n'est pas la propriété de son père ou de son frère.  Elle est juste elle-même.  Elle peut choisir son style de vie.  Mais dans une famille musulmane, l'honneur d'un homme est entre les jambes d'une femme." Ayaan Hirsi Ali

 

"Je ne crois pas qu'il existe un islam "modéré".  Je crois qu'il est préférable de parler de degré de croyance et de pratique. Ayaan Hirsi Ali

 

"J'aimerais que les musulmans voient leur religion comme un ensemble de croyances qu'ils peuvent évaluer de façon critique et dans lequel ils peuvent piocher et choisir."  Ayaan Hirsi Ali

 

"Islam était comme une cage mentale.  Au début, quand vous ouvrez la porte, l'oiseau en cage reste à l'intérieur : il est terrifié.  Il a intériorisé sa captivité.  Il lui faut du temps pour s'échapper, même après que quelqu'un ait ouvert la porte de sa cage".  Ayaan Irsi Ali.

 

Ferhat Mehnni :

L'islam, c'est l'islamisme au repos et l'islamisme, c'est l'islam en mouvement.  C'est une seule et même affaire.".

 

Waleed Al-Husseini, écrivain, essayiste :

"Il est vrai que tous les musulmans ne sont pas terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans. Le problème est dans l’islam, dans les fondements mêmes de l’islam. Le problème est dans le contenu du Coran et c’est absolument limpide. Celui qui soutient le contraire est aveugle.".

 

Amin Maalouf, écrivain :

"Les sociétés sûres d'elles se reflètent dans une religion confiante, sereine, ouverte ; les sociétés mal assurées se reflètent dans une religion frileuse, bigote, sourcilleuse. Les sociétés dynamiques se reflètent en un islam dynamique, innovant, créatif ; les sociétés immobiles se reflètent en un islam immobile, rebelle au moindre changement."  Amin Maalouf, Les identités meurtrières.

 

Ibn Khaldoun, sociologue :

« L’épée de Mahomet et le Coran sont les ennemis les plus obstinés de la Civilisation, de la Liberté et de la Vérité que le monde ait jamais connu ». Sources : a) Ibn Khaldoun, http://islamla.com/viewtopic.php?f=82&t=7081

b) The life of Mahomet, Sir William Muir ESQ, Smith, Elder and co., 65, Cornhill, London, 1861, http://islamicblessings.com/upload/Life%20of%20Mahomet%20BY%20Muir%20Will%201861Edi.pdf

 

Manuel II Paléologue, empereur byzantin :

Dans le 7e dialogue _ édité par le professeur Khoury _, l’empereur [Manuel II Paléologue] en arrive à parler du thème du ‘djihad’ [guerre sainte]. […] Il déclare :

 

« Montre-moi donc ce que Mohammed a apporté de neuf, et alors tu ne trouveras sans doute rien que de mauvais et d’inhumain, par exemple le fait qu’il a prescrit que la foi qu’il prêchait, il fallait la répandre par le glaive ».

 

L’empereur intervient alors pour justifier pourquoi il est absurde de répandre la foi par la contrainte. Celle-ci est en contradiction avec la nature de Dieu et la nature de l’âme. :

« Dieu ne prend pas plaisir au sang, et ne pas agir raisonnablement est contraire à la nature de Dieu. La foi est un fruit de l’âme, non du corps. Donc si l’on veut amener quelqu’un à la foi, on doit user de la faculté de bien parler et de penser correctement, non de la contrainte et de la menace. Pour convaincre une âme raisonnable, on n’a besoin ni de son bras, ni d’un fouet pour frapper, ni d’aucun autre moyen avec lequel menacer quelqu’un de mort ».

 

Sources : a) Polémique byzantine contre l'Islam (VIIIe-XIIIe s.), Adel - Théodore Khoury, E. J. Brill (Leiden), 1972.

b) Théodore Khoury, Manuel II Paléologue. Entretiens avec un Musulman. 7e Controverse. Introduction, texte critique, et notes par Th. K [compte-rendu], Amand de Mendieta Emmanuel. L'Antiquité Classique - Année 1967 - 36-1 - pp. 344-346, https://www.persee.fr/doc/antiq_0770-2817_1967_num_36_1_2658_t1_0344_0000_2

& https://www.persee.fr/docAsPDF/antiq_0770-2817_1967_num_36_1_2658_t1_0344_0000_2.pdf

 

Anonyme :

« Vous entrez dans un cabinet médical, vous entendez le Coran.

Vous entrez dans un magasin, vous entendez le Coran.

Vous montez dans un bus ou un taxi, vous entendez le Coran.

Dans les cafés, les téléphones émettent l’appel à la prière ou des chants religieux.

Sur Facebook, vos pages personnelles sont submergées d'images et de vidéos religieuses.

Vendredi, vous ne trouvez pas un chat dehors à l’heure de la prière.

Sur les vitres arrière des voitures, vous lisez souvent cette inscription :

« Ne pas oublier de mentionner Dieu » (لا تنسى ذكر الله).

Vous ne pouvez discuter avec quelqu’un sans qu’il ne vous gave de a7adiths et de versets du coran.

Les écoles organisent des concours de psalmodie du Coran en lieu et place de compétitions culturelles et artistiques.

Même les garderies enseignent le Coran aux enfants en bas âge au lieu de chants ludiques.

 

Alors, si notre société est empreinte de toute cette foi et toute cette religiosité, d’où nous vient donc cet incivisme, cette saleté, la corruption, le népotisme, la paresse, la violence, la décadence des mœurs, l’absence d’éthique, l'extrémisme, l'ignorance… etc. ? ».

 

Mohammed Arkoun, Ecrivain islamologue, 1928-2010 :

« Il suffit de donner à n'importe quelle idée une apparence religieuse pour convaincre les arabes de te suivre ».

 

Nizami Gencevi, Poète perse (1040-1209) :

« S’il est péché de regarder la femme, alors cache tes yeux, pas la femme ».

 

Kateb Yacine, cinéaste :

« A force de parler de Mohamed qui fut prophète, on oublie le Mohamed chômeur, le Mohamed sans logement, le Mohamed sans abri, le Mohamed sans travail et des milliers de Mohamed qui vivent comme des esclaves sous des régimes qui se réclament du prophète Mohamed ».

 

Mona Eltahawy :

« Les femmes du monde occidental portant un voile contribuent à asservir les femmes ailleurs dans le monde pour lesquelles le port du voile est une contrainte ».

 

 

Sami Aldeeb :

« Est-il possible d'éliminer la maladie du terrorisme islamique tout en maintenant dans toutes les mosquées et tous les foyers musulmans la présence du Coran ? Le fait demeure que les enseignements de l'islam qui cultivent la haine dans le cœur des musulmans sont derrière les attaques terroristes. Tant que les autorités n'auront pas répondu à cette question, toutes les mesures qu'elles prendront contre les malades du terrorisme islamique resteront vaines ».

 

« Une femme qui se convertit à l'Islam c'est comme un noir qui se convertit à l'esclavage », Anonyme.

 

Hassan Jamali :

« « Les conditions minimales d'un ISLAM MODERNE »

=> Détruire tout lien entre politique et islam.

=> Déclarer inopérants les versets violents.

=> Désacraliser le texte coranique.

=> Déclarer caduques les lois de la charia ».

 

Kamil Youcef (pseudonyme), auteur du livre "Le Royaume de la bêtise" :

 

« Le naïf croit que la violence islamique est liée à la colonisation. Alors que ses racines sont profondément ancrées dans l'islamLa conquête musulmane a été plus génocidaire culturellement parlant, que les colonisations anglaises ou françaises. La culture musulmane est profondément colonisatrice ».

 

« Il y a une paranoïa collective musulmane, comme il y a des délires et hystéries collectives, tout le monde s'influençant et hurlant, sans réfléchir, hurlant comme une meute de loups,  "l'islam va dominer le monde", "l'islam est la meilleure religion du monde", "les juifs sont les ennemis de l'islam" etc. ».

 

« Les musulmans sont les seuls créateurs irréfléchis de leur autodestruction, car ils sont les seuls responsables mabouls de leur propre déchéance et les exécuteurs de leur automutilation d’une foi masochiste et morbide. Le coran, qui est esclavagiste et ennemi de la liberté de pensée, a détruit des vies et des civilisations, et il détruira un jour, le monde car c’est le nazisme sacré et morbide du dogmatisme pandémique de la religion. Ce livre sacré n’est qu’une série de lois barbares qui violent les droits humains les plus fondamentaux et élémentaires. Le coran a toujours prétendu connaître les sciences pour draper les musulmans dans le confort de l’ignorance et la soumission. Cette religion devient ainsi, un entretien permanent de l’illusion d’une supériorité imaginaire et pathétiquement misérable qui envenime la vie de tout le monde. Rien n’est plus barbare que le nazisme de l’ignorance ».

 

Père Joseph Fadelle, musulman converti au catholicisme : 

« Les musulmans ont pour fonds de commerce le culte du ressentiment, le désir de vengeance, et la jalousie suscitée par les réussites des pays occidentaux. Ils se persuadent que leur situation d’infériorité fait d’eux d’innocentes victimes persécutées par les ennemis d’Allah. Ils refusent de reconnaître qu’historiquement l’islam n’a jamais rien apporté d’autre que la guerre et la barbarie, et que théologiquement, il ne peut que s’identifier à l’Antichrist annoncé par Jésus (Mt 24.4,11,24 ; Jn 16.2 ; Ga 1.18-9 ; 1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3) », (Extrait de : Interroger l'Islam: 1501 questions à poser aux Musulmans, Guy Abbé Pagès, Préface de Joseph Fadelle, Editions DMM, 2015).

 

Jean-Claude Barreau :

« L'islam est la plus réactionnaire, la plus antidémocratique, la plus fermée aux droits de l'homme de toutes les religions ».

De l'Islam en général et du monde moderne en particulier, Jean-Claude Barreau, éd. Le Pré aux clercs, 1991 (ISBN 9 782070 770946), p. 40.

 

Nicolas Bouvier :

« – L'Islam ici, le vrai ? c'est bien fini... plus que du fanatisme, de l'hystérie, de la souffrance qui ressort. Ils sont toujours là pour vociférer en suivant leurs bannières noires, mettre à sac une ou deux boutiques, ou se mutiler dans des transports sacrés, le jour anniversaire de la mort des Imam ... Plus beaucoup d'éthique dans tout cela ; quant à la doctrine, n'en parlons pas ! J'ai connu quelques véritables musulmans ici, des gens bien remarquables... mais ils sont tous morts, ou partis. A présent... Le fanatisme, voyez-vous, reprit-il, c'est la dernière révolte du pauvre, la seule qu'on n'ose lui refuser. Elle le fait brailler le dimanche mais baster la semaine, et il y a ici des gens qui s'en arrangent. Bien des choses iraient mieux s'il y avait moins de ventres creux ».

Tabriz ( maintenant en Iran), Œuvres, 1951, Nicolas Bouvier, éd. Gallimard, 2004 (ISBN 9 782070 770946), partie L’Usage du monde, p. 177.

 

L’auteur :

« L’islam est comme une plante invasive, ayant de nombreux atouts compétitifs  :

• Très adaptable à tous les environnements,

• N’ayant que peu de prédateurs, car étant lui-même prédateur et anticipant à l’avance toutes les prédations,

• Il est attractif, séduisant, par ses mythes, de promesses (répondant à des attentes diversifiés), attirant comme de beaux fruits ou de belles fleurs.

• N’a souvent pas de concurrent, dans son nouveau milieu (car il est bien accueilli au départ, par ses côtés séduisants),

• Agressif, toxique par rapports aux espèces (habitants) autochtones. Même arraché, il repousse facilement,

• Très pionnier et prosélyte,

• Ses membres se reproduisent rapidement (taux de natalité élevé) ».

 

Anne-Marie Delcambre, islamologue :

« Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l'intégrisme n'est pas la maladie de l'Islam. Il est l'intégralité de l'Islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L'Islam des intégristes, des islamistes, c'est tout simplement l'Islam juridique qui colle à la norme ».

L'Islam des interdits, Anne-Marie Delcambre, éd. Desclée de Brouwer, 2003, p. 11.

 

Marc Ferro, historien :

« Si l'on veut résumer en une phrase l'évolution du monde musulman et de ses rapports avec l'Occident, on peut dire les choses ainsi, même si c'est caricatural : le drame des musulmans est de s'être retrouvés soumis aux descendants de ceux dont ils avaient fait leurs esclaves. Tous les peuples qui ont eu une vocation de dominateurs et qui se trouvent dominés vivent une crise d'un ressentiment terrible. Ils éprouvent un ressentiment à la mesure du rayonnement qu'a connu leur civilisation quand, au Moyen Age, elle dominait le monde ».

Des grandes invasions à l'an mille, Marc Ferro, éd. Plon, 2007.

 

Michel Houellebecq :

« L'islam ne pouvait naître que dans un désert stupide, au milieu de bédouins crasseux qui n'avaient rien d'autre à faire - pardonnez-moi - que d'enculer leurs chameaux ».

Plateforme, Michel Houellebecq, éd. Flammarion, 2001 (ISBN 2-08-068237-7), p. 261.

 

Antoine Sfeir, journaliste et politologue franco-libanais :

« Rappelons que la prédication mahométane s'est étendue sur vingt-deux ans et en deux parties. La première, qu'on appelle « les sourates mecquoises », se situe dans la droite ligne des prédications monothéistes qui ont précédé l'islam. Elle est viscéralement spirituelle. Le dogme y est précis pour indiquer les cinq piliers de l'observance, qui feront du croyant un bon musulman. La seconde partie, « les sourates médinoises » concerne l'érection d'une cité islamique, où il a fallu édicter des règles et des lois économiques, politiques, de guerre et sociétales. Désormais, l'islam s'érigerait en système englobant ».

« Avant de déradicaliser, comment prévenir ? », Antoine Sfeir, Valeurs Actuelles, nº 4158, 4 au 10 Aout 2016, p. 94.

 

Geert Wilders, homme politique néerlandais :

« L’islam prive les musulmans de leur liberté. C’est malheureux, parce que les gens libres sont capables de réaliser de grandes choses, comme l’histoire l’a montré. Les arabes, turcs, iraniens, indiens, les peuples indonésiens ont un énorme potentiel. S’ils n’étaient pas captifs de l’islam, s’ils pouvaient se libérer du joug de l’islam, s’ils cessaient de prendre Mahomet comme modèle et s’ils se débarrassaient du Coran, ils seraient en mesure de réaliser de grandes choses qui bénéficieraient non seulement à eux mais au monde entier. En tant qu’Hollandais, européen et homme politique occidental, ma responsabilité est d’abord d’aider le peuple néerlandais, les Européens et les Occidentaux. Toutefois, puisque la libération des musulmans bénéficierait à chacun d’entre nous, je soutiens sans réserve les musulmans qui aiment la liberté. Mon message pour eux est clair : Le fatalisme n’est pas une solution ; [l’expression] “Inch ‘Allah” est une malédiction, la soumission est une honte. Libérez-vous, il n’en tient qu’à vous ».

 

Kamel Daoud, écrivain et journaliste algérien (1970-…) :

« Dans les pays où ils sont minoritaires, les musulmans sont obsédés par les droits des minorités. Dans les pays où ils sont majoritaires, les minorités n’ont plus aucun droit.

• Résumons pour les esprits faibles : Insultes à L’islam est puni par la loi. Si un Occidental le fait, au mieux, il est emprisonné, au pire, il est décapité.

• Mais insultes à la chrétienté et à la judaïté ou au bouddhisme ou l’animisme, c’est courant, Hallal, cela se fait chaque vendredi, dans les mosquées, les livres, les médias et les cafés.

• Interdire un minaret en Europe est signe d’islamophobie. Mais interdire la construction d’une église ou d’une synagogue ou d’un temple dans un pays musulman, n’est pas un délit ni du racisme. On peut même les brûler ou les détruire ou empêcher leur restauration comme l’ont fait les conquérants.

• Évoquer les origines par la peau, l’accent, le mouton de l’Aïd, c’est du racisme. C’est puni par la loi, et est signe de décadence, d’intolérance et de rejet de l’Autre. Du fascisme.

• Mais traiter les Subsahariens comme des maladies de peau, les accuser de pédophilie dans les journaux algériens genre Echourouk, les accuser de délinquance et de vols, c’est de la routine, du » normal « c’est évident, c’est vrai ».

• Un Algérien, un arabe ou un musulman a le droit de porter le voile en Europe, le Kamis, la barbe.

• Mais un chrétien ou un bouddhiste n’osera jamais porter la soutane dans nos villages, dans nos quartiers populaires, dans nos espaces. Il sera lynché ou accusé de prosélytisme. Arrêté par la police, présenté et incarcéré. Puis expulsé. Et s’il est algérien, il sera formaté, sermonné par le juge ou mis en prison.

• Fêter noël c’est haram, interdit, signe de colonisé et d’assimilé quand c’est fêté chez nous. Mais fêter l’Aïd chez Eux, chez le reste de l’humanité, égorger les moutons est un droit d’être libre et de célébrer ses calendriers dans le cadre de la démocratie.

• Dénoncer l’islamophobie est à encourager, c’est légitime et cela est de bonne guerre. Mais écrire ce qui précède est signe que vous êtes pro-occidental, pro-juif, contre l’Islam, Allah, la Palestine et la nation. Et que vous voulez la bénédiction des Ennassara, des juifs ou des prix et des distinctions.

• Attendre un mois pour un visa est la preuve de l’Occident qui se referme, qui interdit la libre circulation. Mais attendre trois mois pour un visa vers l’Algérie est une chose admissible et qu’on n’a pas à dénoncer.

• Se voir interdire de porter la burqua ou le voile est signe d’intolérance et de dérive chez le reste de l’humanité, mais il est naturel donc de se voir interdire un prénom occidental, une croix ostentatoire à l’entrée d’une mairie ou une calotte chez nous. Et ne parlons pas de la Kippa.

• Et la liste est longue. Un certain ethnocentrisme a habitué les cafés maures et les élites de notre planète d’Allah à la commodité du point aveugle. Il est facile, confortable, plaisant d’accuser l’Occident et le reste de l’humanité de nos défauts, maladies et névroses et on s’accommode de ne pas les dénoncer chez nous. Nous demandons à partager le statut de l’humanité mais nous refusons de l’admettre comme valeur universelle chez soi.

• Nous voulons que le reste de l’humanité accepte nos différences mais nous n’acceptons pas celles des autres peuples et autres croyances.

• D’ailleurs écrire ce qui précède est gênant pour certains. Parce que c’est faire le jeu des extrêmes droites en Occident et c’est être naïf. L’excuse est une excuse pour le silence complice des crimes des siens. Alors on ne parle pas. On ne dénonce pas une injustice chez soi pour ne pas aider l’injustice ailleurs. Et c’est un faux calcul et une immoralité.

• Pourquoi en parler maintenant ? Parce qu’il est devenu lassant de lire certains écrits dans nos journaux, entendre certains avis, suivre certains débats et parce que c’est immoral de ne pas dénoncer et parce que c’est lassant cette hypocrisie et cette complicité. Et parce que c’est plus utile à dénoncer que de parler de l’Invalide des Invalides ». 

 

« Un islamiste est modéré avant de prendre le pouvoir. Jamais après. Un islamiste ne vise pas un mandat mais l'éternité. Il ne veut pas votre voix mais votre conversion. Il ne veut pas construire le pays mais restaurer les premiers temps. Il ne peut pas concevoir la liberté sauf celle de vous imposer sa croyance. Non, il n'y pas d'islamistes modérés, il n'y a que des islamistes encore plus rusés », Kamel Daoud, Le Quotidien d'Oran. 8/10/2019.

 

« Qu’on donne à l’erreur mahométane le nom honteux d’hérésie ou celui, infâme, de paganisme, il faut agir contre elle, c’est-à-dire écrire. Mais les latins et surtout les modernes, l’antique culture périssant, suivant le mot des Juifs qui admiraient jadis les apôtres polyglottes, ne savent pas d’autre langue que celle de leur pays natal. Aussi n’ont-ils pu ni reconnaître l’énormité de cette erreur ni lui barrer la route. Aussi mon cœur s’est enflammé et un feu m’a brûlé dans ma méditation. Je me suis indigné de voir les Latins ignorer la cause d’une telle perdition et leur ignorance leur ôter le pouvoir d’y résister ; car personne ne répondait, car personne ne savait. Je suis donc allé trouver des spécialistes de la langue arabe qui a permis à ce poison mortel d’infester plus de la moitié du globe. Je les ai persuadés à force de prières et d’argent de traduire d’arabe en latin l’histoire et la doctrine de ce malheureux et sa loi même qu’on appelle Coran. Et pour que la fidélité de la traduction soit entière et qu’aucune erreur ne vienne fausser la plénitude de notre compréhension, aux traducteurs chrétiens j’en ai adjoint un Sarrasin. Voici les noms des chrétiens : Robert de Chester, Hermann le Dalmate, Pierre de Tolède ; le Sarrasin s’appelait Mohammed. Cette équipe après avoir fouillé à fond les bibliothèques de ce peuple barbare en a tiré un gros livre qu’ils ont publié pour les lecteurs latins. Ce travail a été fait l’année où je suis allé en Espagne et où j’ai eu une entrevue avec le seigneur Alphonse, empereur victorieux des Espagnes, c’est-à-dire en l’année du Seigneur 1141 […] ».

 

Source : Pierre le vénérable, Lettre sur la traduction du Coran, 1142, cité par Jacques le Goff, Les Intellectuels au Moyen Age, https://www.laculturegenerale.com/pierre-venerable-coran/

 

Muhammad Abdus Salam (1926-1996), physicien, prix Nobel de physique 1979 : « De toutes les grandes civilisations de la planète, la communauté islamique est celle qui a fait à la science, la place la plus restreinte »[1].

 

Sayyed Al-Qimni (1947-…) est un auteur et intellectuel égyptien, connu pour sa dénonciation de l’Islam politique : « L'héritage islamique s'est figé il y a mille ans, au 4ème siècle de l'islam. Depuis il n'a pas avancé, n'a pas évolué et ne s'est pas renouvelé. La religion constitue toujours la principale base de réflexion du citoyen ordinaire. Les citoyens ordinaires n'ont pas recours aux sciences naturelles ou aux mathématiques pour résoudre leurs problèmes. Ils se tournent vers la religion. Imaginez simplement une religion, qui, il y a mille ans a cessé d'ajouter quoi que ce soit, a cessé d'évoluer, a cessé de se renouveler. Par conséquent la manière de penser des musulmans est aux antipodes de notre époque, car ils pensent selon une logique vieille de mille ans. L'humanité a évolué et les sciences ont progressé comme personne n'aurait pu le prévoir. Il s'avère impossible pour les musulmans de saisir et de comprendre cet immense progrès. (...) Nous sommes des peuples arriérés, et quiconque prétend le contraire fait l'idiot, est fou ou stupide. Nous faisons partie des pays les plus arriérés du monde », Al-Hurra TV, 24.01.2018.

 

3      Pour – Eloges et défenses de l’Islam

 

Jules Barbey d'Aurevilly, écrivain français (1808-1889) :

« Mahomet est une des trois ou quatre figures qui dominent l'humanité et son histoire ».

Les œuvres et les hommes (1860-1909), Jules Barbey d'Aurevilly, éd. Slatkine Reprints, 1968, t. 17, les Philosophes et les écrivains religieux, p. 316.

 

-Ignace Mouradja d'Ohsson :

« Tous les maux politiques qui affligent les peuples musulmans, dérivent de leurs préjugés, de leurs fausses opinions, des vices du gouvernement, et non des vrais principes de la religion et de la loi ».

Tableau général de l'Empire Othoman (1788), Ignace Mouradja d'Ohsson, éd. Firmin Didot, 1788, p. 192.

 

- Lamartine, poète, écrivain, historien, et homme politique français (1790-1869) :

« Si la grandeur de l’objectif, l’infime quantité de moyens, et des résultats extraordinaires sont les 3 critères qui définissent le talent humain, qui peut oser comparer n’importe quel grand homme de l’Histoire moderne avec Muhammad ? » (Histoire de la Turquie, 1854, Tome 1 et Livre 1, p. 280). Source : http://www.uoif-online.com/islam-et-spiritualite/lamartine-sur-le-prophete-psl/ 

 

- Johann Wolfgang Von Goethe, romancier, dramaturge, poète, théoricien de l'art et homme d'État allemand (1749-1832) :

« Nous les européens avec tous nos concepts n’avons pas pu encore atteindre ce que Mohammed a atteint et nul ne pourra le dépasser. J’ai cherché dans l’histoire de l’humanité un homme qui en soit l’exemple idéal et je l’ai trouvé en la personne du Prophète Muhammad. Et ainsi doit se révéler et s’élever comme a réussi Muhammad à assujettir le monde entier par le monothéisme. ».

 

« Ce n’était pas un poète, mais un Prophète, par conséquent son Coran doit être vu comme une loi divine et non un livre écrit pour l’éducation et pour le divertissement » (Impossible de retrouver la source de ces deux citations).

 

« Aussi souvent que nous le lisons (le Coran), au départ et à chaque fois, il nous repousse. Mais soudain il séduit, étonne et finit par forcer notre révérence. Son style, en harmonie avec son contenu et son objectif, est sévère, grandiose, terrible, à jamais sublime. Ainsi ce livre continuera d'exercer une forte influence sur les temps à venir ».

Goethe, 1819, West-Oestlicher Divan, dans Dictionary of Islam (1885), paru chez Laurier Books Ltd, 1996, p. 526, Thomas Patrick Hughes.

 

- Thomas Carlyle, historien et philosophe écossais (1795-1881) :

"C’est une honte pour chacun d’écouter les accusations disant que l’Islam est un mensonge et que Mohammed est un imposteur et un falsificateur. On l’a distingué pendant toute sa vie avec des principes inébranlables, une sincère détermination, bienveillant, généreux, compatissant, pieux, vertueux, digne d’éloges, libre, humaniste, très sérieux, sincère. Et avec toutes ces qualités, il avait le plus doux caractère, le tempérament le plus aisé, de bonne humeur, de compagnie louable et agréable, mieux il était plaisant et spirituel. Il était juste, sincère, clairvoyant, magnanime, pur et présent d’esprit. Son visage était radieux comme s’il avait en son sein des lumières illuminant toute nuit obscure. Il était un grand homme par sa nature, il n’a pas été éduqué par une école ni par un instituteur et il n’avait point besoin de tout cela". Heroes, Hero Worship, and the Heroic in History, p. 50-51.

« Accuser le Prophète d’avoir eu recours au sabre pour amener les gens à répondre à son appel, est une absurdité incompréhensible.

En effet, cela fait partie de ce qui n’est pas admis dans l’entendement, [Il n'est pas concevable] qu'un homme seul brandisse son sabre pour laisser aux gens le choix, soit de mourir, soit d'adhérer à son message, et qu'à ce moment-là, ceux-ci décident de le suivre alors qu'ils ont la capacité de le combattre.

Ceux-ci crurent en lui de plein gré, attestant (du message).

Aussi, ce sont eux qui eurent à subir la guerre par leurs ennemis, avant qu'ils fussent capables de la mener ».

 

- George Bernard Shaw, critique musical, dramaturge, essayiste, auteur de pièces de théâtre et scénariste irlandais, prix Nobel de littérature 1925 (1856-1950) :

« Si quelqu’un comme Muhammad était amené à diriger le monde aujourd’hui, il réussirait à résoudre tous les problèmes et à amener la paix et le bonheur » (The genuine Islam, Vol I., No 8).

« Je l’ai étudié – le merveilleux homme – et à mon avis, loin d’être un antéchrist, il mérite le titre de Sauveur de l’humanité. Je crois que si un homme comme lui prenait la dictature du monde moderne, il réussirait à résoudre ses problèmes d’une façon qui lui apporterait la paix et le bonheur si nécessaires. J’ai prophétisé sur la foi de Mohammad qu’elle sera acceptable à l’Europe de demain, comme elle commence à devenir acceptable à l’Europe d’aujourd’hui. » (Georges Bernard Shaw, The genuine Islam, Vol I., No 8, 1936).

 

- Dr William Draper (1811-1882), historien et philosophe américain :

Mohammed fut « l’homme qui parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine » (A History Of the Intellectual Development of Europe).

 

- Annie Besant, conférencière, féministe, libre-penseuse, socialiste et théosophe britannique, qui prit part à la lutte ouvrière avant de diriger la Société théosophique puis de lutter pour l'indépendance de l'Inde (1847-1933) :

« il est impossible pour celui qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d’Arabie, pour celui qui sait comment il enseignait et de quelle façon il vivait, de ressentir d’autre sentiment que le respect pour ce prophète prodigieux, l’un des grands messagers de l’Être suprême. » (The Life And Teachings of Mohammad, p. 4).

 

- Will Durant, philosophe, historien et écrivain américain (1885-1981) :

« Si on avait à noter le grandiose en fonction de son influence sur certaines personnes, on dirait que Muhammad est le plus grand des grandioses » (à vérifier si la source est : « Histoire de la civilisation médiévale de Constantin à Dante, de 325 à 1300, Tome 4 - L'âge de la Foi (4 vol.), I.10 L'Apogée de Byzance. La civilisation islamique. (?) »).

 

- Bosworth Smith, auteur anglais (1839-1908) :

« S’il y avait un homme qui aurait le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mohammed, puisqu’il a reçu tout le pouvoir sans avoir les instruments ni les supports » (Mohammad and Mohammadanism, 1874, p.92).

 

- Dr. Gustav Weil, orientaliste allemand (1808-1889) :

« Mohammed était un exemple éclatant pour son peuple. Son caractère était pur ainsi que ses qualités. Sa maison, son habit, sa nourriture étaient caractérisés par une rare simplicité. Il était tellement modeste qu’il n’avait pas accepté que ses Compagnons l’appellent par un surnom qui soit une adulation. Comme il n’acceptait pas qu’un autre lui rende un quelconque service que lui-même peut accomplir.  Il était accessible à tout le monde, à tout moment. Il visitait le malade et était plein de sympathie pour tous. Sa générosité et sa bienveillance étaient illimitées tout comme il était dévoué pour le bien-être de la communauté » (L’histoire des personnalités musulmanes).

 

- Mohandas Karamchand Gandhi, dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays (1869-1948) :

« Je suis devenu plus que convaincu que ce n’était pas grâce à l’épée que beaucoup de gens ont embrasé l’islam dans ces temps modernes, mais grâce à la simplicité du prophète, son attachement vers les autres, son regard attentif avec sa promesse, sa dévotion intense, son intrépidité et sa confiance absolue et foi envers Dieu et sa propre mission » […]  « Ils voient du feu là où il y a de la lumière, de la laideur là où il y a de la beauté, ils dénaturent toute bonne qualité et la présentent comme un vice, ce qui ne fait que démontrer leur état corrompu et leur immoralité… Ils sont frappés de cécité, car ils ne voient pas que l’unique épée que Mohammed ait jamais dégainée est celle de la clémence, de la compassion et de l’amitié, celle qui, à la fois, vainc les ennemis et purifie leur cœur. Cette épée est infiniment plus puissante que celle qui est faite de métal » (Extrait du journal « Young India », cité dans « The light », Lahore, 16/09/1924).

 

- Napoléon :

« En Égypte, je me trouvais débarrassé du frein d'une civilisation gênante. Je rêvais toutes choses et je voyais les moyens d'exécuter tout ce que j'avais rêvé. Je créais une religion, je me voyais sur le chemin de l'Asie, parti sur un éléphant, le turban sur ma tête et dans ma main un nouvel Alcoran que j'aurais composé à mon gré. J'aurais réuni dans mes entreprises les expériences des deux mondes, fouillant à mon profit le domaine de toutes les histoires, attaquant la puissance anglaise dans les Indes, et renouant par cette conquête mes relations avec la vieille Europe. Ce temps que j'ai passé en Égypte a été le plus beau de ma vie, car il en a été le plus idéal. »

(Napoléon Bonaparte, 1804, cité dans dans Mémoires de Madame de Rémusat, 1802-1808)

 

« Et après tout [...] ce n'est pas qu'il eût été impossible que les circonstances m'eussent amené à embrasser l'islamisme ; et, comme disait cette bonne reine de France : « Vous m'en direz tant » ! Mais ce n'eût été qu'à bonne enseigne ; il m'eût fallu pour cela au moins jusqu'à l'Euphrate. Le changement de religion, inexcusable pour des intérêts privés, peut se comprendre peut-être par l'immensité de ses résultats politiques. Henri IV avait bien dit : « Paris vaut bien une messe ». Croit-on que l'empire d'Orient, et peut-être la sujétion de toute l'Asie, n'eussent pas valu un turban et des pantalons ; [...] Cependant voyez les conséquences ! Je prenais l'Europe à revers, la vieille civilisation européenne demeurait cernée, et qui eût songé alors à inquiéter le cours des destinées de notre France, ni celui de la régénération du siècle ! »

(Napoléon Bonaparte, 26 avril 1816 à Sainte-Hélène, Mémorial de Sainte-Hélène, Las Cases)

 

« Les cheiks me disaient toujours que si je voulais m'établir patriarche, il fallait que l'armée se fit musulmane et prit le turban. C'était bien mon intention, mais je ne voulais faire cette démarche, qu'étant sûr de réussir, sans quoi, je me serais, comme Menou, couvert de ridicule. [...] Les Arabes n'attendaient qu'un homme, ils me regardaient comme un être extraordinaire. » (Napoléon Bonaparte, 26 décembre 1816 à Sainte-Hélène, Journal de Sainte-Hélène 1815-1818, Flammarion, 1947, t.1, p.244-245, Général Gourgaud)

 

« Si j'étais resté en Orient, j'aurais probablement fondé un empire, comme Alexandre, en me rendant en pèlerinage à la Mecque, où j'aurais fait des prières et des génuflexions, mais je ne voulais le faire que si cela en eût valu la peine. »

(Napoléon Bonaparte, 7 janvier 1818 à Sainte-Hélène, Flammarion, 1947, t.2, p.331, Général Gourgaud).

 

Dans les Mémoires écrits à Sainte-Hélène du général Gourgaud, Napoléon dit : « Jésus-Christ, simple prédicateur, n’exerça aucun pouvoir sur la terre, mon règne n’est pas de ce monde disait-il. Il le prêchait dans le temple, il le prêchait en particulier à ses disciples. Il leur accorda le don de la parole, fit des miracles, ne se révolta pas contre la puissance établie et mourut sur une croix, entre deux larrons, en exécution du jugement d’un simple préteur idolâtre… À l’opposé de Jésus-Christ, Mahomet fut roi ! Il déclara que tout l’univers devait être soumis à son empire ».

Plus loin, Napoléon poursuit : « Ce qui est supérieur en Mahomet, c’est qu’en dix ans il a conquis la moitié du globe, tandis qu’il a failli trois cents ans au christianisme pour s’établir ».

 

Dans sa Correspondance, au chapitre « Observations sur la tragédie de Mahomet », Napoléon écrit : « Il a détruit les faux dieux, renversé le temple des idoles dans la moitié du monde, propagé plus que qui que ce soit la connaissance d’un seul Dieu dans l’univers… Mahomet fut un grand homme, intrépide soldat…. Grand capitaine, éloquent, homme d’État, il régénéra sa patrie et créa au milieu des déserts de l’Arabie un nouveau peuple et une nouvelle puissance. ».

 

Le comte de Las Cases, dans le Mémorial de Sainte-Hélène, raconte une anecdote intéressante : « A dîner, l’Empereur dit des choses curieuses sur l’Égypte, touchant un des chapitres qu’il avait dictés sur la religion, les usages, etc. (…) Alors, analysant de la manière la plus ingénieuse les deux religions de l’Orient et de l’Occident, il disait que la nôtre était toute spirituelle, et celle de Mahomet toute sensuelle ; que les châtiments dominaient chez nous : c’était l’enfer et ses supplices éternels, tandis que ce n’était que récompenses chez les Musulmans : les houris aux yeux bleus, les bocages riants, les fleuves de lait ; et de là il concluait, en opposant les deux religions, que l’on pourrait dire que l’une était une menace, elle se présentait comme la religion de la crainte ; que l’autre, au contraire, était une promesse, et devenait la religion des attraits. »

 

- Adolf Hitler, fondateur du National-Socialisme, chef d'état allemand (1889-1945) :

 

"Que le Christianisme est bien quelque chose de fade - Nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l'héroïsme : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains auraient avec cela conquis le monde, ce n'est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés" (Trouver la source et vérifier cette citation).

Sources : a) https://fr.wikiquote.org/wiki/Adolf_Hitler

b) http://dicocitations.lemonde.fr/citations-auteur-adolf_hitler-0.php

 

 « Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous [les nazis] que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l’esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive », Source : Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180

« Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais [pas] le fade paradis des chrétiens ! », Source : Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141

 

« Cette philosophie [japonaise], qui est une des raisons principales de leur succès, n’a pu se maintenir comme principe d’existence du peuple que parce que celui-ci est resté protégé contre le poison du christianisme. Comme dans l’Islam, la religion japonaise est dépourvue de tout terrorisme et contient seulement l’espoir de la félicité. Le terrorisme est seulement une idée juive répandue par le christianisme », Source : Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 4 avril 1942, p. 274

« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés », Source : Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297

 

« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons-nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante », Source : Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138.

 

- Heinrich Himmler - Reichführer SS (1900-1945) : "Je n'ai rien contre l'Islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille : bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat"

Sources : a) http://diberville.blogspot.fr/2010/01/2504-je-nai-rien-contre-lislam.html

b) The service record of Heinrich Himmler in SS: Roll of Infamy. Christopher Ailsby, Osceola, WI: Motorbooks International, 1997, page 164.

c) SS service record of Heinrich Himmler; United States National Archives, College Park, Maryland.

 

- Gustave Le Bon, médecin, anthropologue, psychologue social, sociologue français (1841-1931) :

"Du fond de son tombeau, l'ombre du prophète règne en souveraine sur ces millions de croyants qui peuplent l'Afrique et l'Asie, du Maroc jusqu'à la Chine, de la Méditerranée à l'Equateur » Source : La civilisation des Arabes, Livre I & VI (1884) (Voir aussi l’article « La Civilisation des arabes et l’étude scientifique de l’histoire », Revue Scientifique, 1er décembre 1883).

 

« S'il faut juger de la valeur des hommes par la grandeur des œuvres qu'ils ont fondées, nous pouvons dire que Mahomet fut un des plus grands hommes qu'ait connus l'histoire. Des préjugés religieux ont empêché bien des historiens de reconnaître l'importance de son œuvre ; mais les écrivains chrétiens eux-mêmes commencent aujourd'hui à lui rendre justice », Source : La Civilisation des Arabes (1884), Livre I, Gustave Le Bon, éd. La Fontaine au Roy, 1990, Livre deuxième, chapitre premier, Mahomet, p. 76.

 

- Michael Hart,  astrophysicien et essayiste américain, représentant du nationalisme blanc américain (1932-…) (voir ci-après) :

« Mohammed (‘aleyhi assalam) fut le seul homme dans l’histoire à avoir entièrement réussi tant sur le plan religieux que temporel » (The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History [Les 100 personnages les plus influents dans l’histoire], Michael Hart,  Galahad Books, 1976 et 1982, p. 33).

 

- Hassan El-Banna (Grand-père de Tariq Ramadan) :

« Il est dans la nature de l’islam de dominer et de ne pas être dominé, d’imposer sa loi à toutes les nations et d’étendre son pouvoir au monde entier ».

 

- Cheikh Youssef al-Qaradâwî :

« Si on avait supprimé la peine de mort contre ceux qui quittent l’Islam, l’Islam n’existerait plus aujourd’hui. L’Islam aurait disparu dès la mort du Prophète, que la paix soit sur lui. Condamner l’apostasie, c’est ce qui a permis de garder l’Islam jusqu’à nos jours »[2].

« Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons »[3].

« Le cerveau n'a pour fonction que de comprendre les raisons de la jurisprudence. Il sert à appliquer la religion, non à critiquer la religion ».

« Tout au long de l'histoire, Allah a imposé aux [juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu'il leur a fait — et bien qu'ils [les juifs] aient exagéré les faits —, il a réussi à les remettre à leur place. C'était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des croyants »[4].

 

Omar Bakri Mohammed, imam radical britannique :

« Un jour, les musulmans que vous avez enrôlés dans vos polices européennes et dans vos armées se lèveront et ils vous écraseront ».

 

Hans Küng, prêtre et théologien suisse :

« S'agissant des musulmans, leur livre, le Coran, est un message vivant, un livre saint en langue arabe qui se distingue des autres par le fait que ceux qui le vénèrent en connaissent les limites. Ce livre englobe tout ce qui fut révélé directement par le Seigneur. Et il ne peut être l'objet de modifications, puisque les musulmans apprennent par cœur ce qui leur est possible du Coran, y compris les écoliers. Le Coran est constitué d'un livre unique, à la différence de l'Ancien Testament qui forme un ensemble de livres sans dénominateur commun, et dont les nombreuses contradictions apparaissent immédiatement à celui qui l'ouvre. Le Coran est également bien différent du Nouveau Testament formé lui aussi de textes qui, dans nombre de leurs détails, se contredisent les uns les autres, et qui n'apportent pas de connaissances suffisantes sur Jésus. Quant au Coran des musulmans, il s'agit d'un seul livre révélé à un seul prophète, cohérent et homogène dans le fond comme dans la forme, et ce, bien que sa révélation se soit étalée, en fonction des événements, sur une période de vingt-trois ans », Huns Küng, l’Islam, Paris, Cerf, 2010, 956 p.

 

Recep Tayyip Erdoğan, président turc (auparavant Premier Ministre de la Turquie) :

« Le terme Islam modéré est injurieux. Il n'y a pas d'islam modéré. L'islam est l'islam ».

« Les mosquées sont nos casernes, les dômes sont nos casques, et les minarets sont nos épées ». Recep Erdogan, 1998.

 

Eva de Vitray-Meyerovitch, docteur en islamologie, chercheuse au CNRS dont elle dirigea le service des sciences humaines, traductrice et écrivaine, disciple du maître soufi Sidi Hamza al Qâdiri al Boutchichi :

« Être musulman ou être musulmane, c'est s'en remettre dans la paix à un Absolu ».

« De toute façon, l'islam oblige à reconnaître toutes les communautés spirituelles, tous les prophètes antérieurs. L'islam est le dénominateur commun à toutes les religions. On ne se convertit pas à l'islam. On embrasse une religion qui contient toutes les autres ».

 

Anne-Marie Delcambre, islamologue :

« Trop souvent, en Occident, on parle de l'Islam sans faire intervenir la géographie, l'histoire, la politique, la société. On s'en tient à des préjugés. Pour certains, tous les musulmans seraient arabes et les Arabes seraient tous musulmans. Or, non seulement certains Arabes sont chrétiens, mais le monde musulman, qui compte un milliard de croyants, est loin d'être majoritairement composé d'Arabes.[...] Un autre préjugé non moins tenace fait considérer l'Islam comme figé dans un Moyen Age éternel dont sortiraient épisodiquement des fanatiques venant accomplir des actes de barbarie, autrefois avec le sabre, aujourd'hui avec des bombes. Ces préjugés rendent d'autant plus difficile l'appréhension de l'islam comme religion à vocation universelle, ayant donné naissance à une civilisation prestigieuse ».

L'Islam, Anne-Marie Delcambre, éd. La Découverte, 2004, p. 3.

 

Mohandas Karamchand "Mahatma" Gandhi, militant et dirigeant politiques, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays, adepte de la Non-violence (1869-1948) :

« Je voulais mieux connaître la vie de celui qui aujourd'hui détient indiscutablement les cœurs de millions d'êtres humains. Je suis désormais plus que jamais convaincu que ce n'était pas l'épée qui créait une place pour l'islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie. C'était cette grande humilité, cet altruisme du prophète, l'égard scrupuleux envers ses engagements, sa dévotion intense à ses amis et adeptes, son intrépidité, son courage, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. Ces faits, et non l'épée, lui amènent tant de succès, et lui permirent de surmonter les problèmes ».

Extrait du Journal "Young India", cité dans "The light", Lahore, 16/09/1924.

 

Edward Gibbon (1737-1794), historien :

« Il y a une loi monstrueuse qui fut attribuée aux adeptes de Mohammad : [elle stipule] l'obligation d'éradiquer toutes les religions par le sabre

«Le Coran a réfuté cette accusation ignorante et extrémiste tout comme l'a réfutée l'histoire des conquêtes islamiques.

Et de même, ce par quoi sont devenus célèbres les conquérants comme tolérance connue et légitime envers la religion chrétienne.

Le plus grand succès dans la vie de Mohammad est le résultat de la puissance morale uniquement, et sans avoir donné un seul coup de sabre. »

 

4      Citation du prophète Mahomet (Muhammad)

 

« Le Prophète a dit : « la guerre c’est la ruse » » (Boukhari, n° 3029 et Mouslim, n° 58).

 

 « D'après 'Abû Hurayra, le Prophète a dit : « Le musulman ne doit pas verser une aumône légale, ni pour son cheval, ni pour son esclave » » (Sahih Muslim n°13).

 

D'après Abou Houreira, le Prophète a dit : « Il a été écrit à chacun des fils d'Adam sa part de fornication. La fornication des yeux est le regard, la fornication des oreilles est l'écoute, la fornication de la langue est la parole, la fornication de la main est le toucher, la fornication du pied est le pas, le cœur a envie et espère et c'est le sexe qui rend cela véridique ou le dément » (Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2657).

 

 « 'Abdur-Rahman bin Samura relate : Le Prophète a dit : "O 'Abdur-Rahman ! Ne cherche pas à être un dirigeant, car si on te donne l'autorité à ta demande, tu en seras tenu responsable, mais si on te le donne sans que tu le demandes, alors tu seras aidé (par Allah). Si tu fais un serment de faire quelque chose et que, plus tard, tu trouves que quelque chose de meilleur, alors tu devras renier [expier?] ton serment et faire ce qui est mieux" »[5] [Autre formulation : « si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu'une autre action est meilleure, alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux »][6] (Bukhari livre 89 n°260).

 

 « Aisha a raconté : « L'apôtre d'Allah a déclaré : "Si quelqu'un innove, ce qui n'est pas en harmonie avec les principes de notre religion, cet objet est rejeté." » »[7] (Bukhari Volume 3, Livre 49 Hadith numéro 861).

 

 « Relaté par Al-Mughira bin Shu'ba : Le Prophète a dit : « Allah vous a interdit (1) d’être désobéissant à vos mères, (2) d’enterrer vos filles vivantes, (3) de ne pas payer les droits pour les autres (par exemple la charité, etc.) et (4) de mendier (mendicité) et Allah a haïs pour vous (1) les vains parlers inutiles, ou que vous parlez trop sur les autres, (2) de poser trop de nombreuses questions, (en matière de questions religieuses contestées) et (3) de gaspiller la richesse (par l'extravagance) » » (Bukhari Volume 3, Livre 41, Hadith Numéro 591).

 

Le Messager صلَّى الله عليه وسلَّم dit : « Si l’homme invite son épouse au lit et qu’elle ne vient pas à lui, et qu’il passe alors, la nuit, fâché contre elle, les Anges la maudiront jusqu’au matin. » (Rapporté par : Al-Boukhârî (5193) et Mouslim (1436) ; les termes de ce hadith sont ceux de Mouslim, d’après Aboû Hourayra رضي الله عنه)[8].

 

Le Messager صلَّى الله عليه وسلَّم dit aussi : « Par Celui qui tient mon âme dans Sa Main ! Il n’est pas de femme qui se refuse à son mari qui l’invite au lit sans que Celui qui est au ciel ne soit courroucé contre elle jusqu’à ce que son mari soit satisfait d’elle. », (Rapporté par Mouslim (1436), d’après Aboû Hourayra رضي الله عنه).

 

« Un jour, l'Apôtre d'Allah est allé à Musalla pour Id-al-Adha ou la prière d'Al-Fitr. Alors il est passé par les femmes et a dit : "Ô Femmes ! Faites l'aumône parce que j'ai vu que la majorité des occupants du feu de l'enfer sont vous (les femmes)." Elles demandèrent : "Pourquoi en est-il ainsi, Ô Apôtre d'Allah ?" Il répondit : "Vous maudissez fréquemment et vous êtes ingrates envers vos maris. Je n'ai jamais rien vu de plus déficient en intelligence et en religion que vous. Un homme sensible et sensé pourrait être égaré par quelques-unes d'entre vous. " Les femmes demandèrent : "Ô apôtre d'Allah ! Qu'y a-t-il de déficient dans notre intelligence et notre religion ? Il dit : "La preuve apportée par deux femmes n'est-elle pas équivalente à celle d'un seul homme ? " Elles répondirent par l'affirmative. Il dit : "C'est l'insuffisance dans leur intelligence. N'est-il pas vrai qu'une femme ne peut ni prier ni jeûner pendant ses règles ?" Les femmes répondirent par l'affirmative. Il dit : C'est l'insuffisance dans leur religion." », Sahih al-Bukhari, Volume 1, livre 6, N°301 (Sahih Bukhari 1:6:301)[9].

 

« Vos épouses [femmes] sont pour vous un champ de labour, allez à votre champ comme vous le voudrez [à votre guise] » (Coran 2.223. Le Coran sourate II, verset 223).

 

« 34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » (Coran 4.34).

 

« Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensés[10] », Coran 33.59.

 

« 'Amir a rapporté le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) en disant:

La femme qui enterre vivante sa fille nouveau-née et la fille qui est enterrée vivante iront toutes deux en enfer ».

Sunan Abi Dawud 4717[11].

 

5      Citations fausses et/ou contestées

 

Citation contestée :

 

Le premier ministre victorien William Gladstone, brandissant un Coran à la Chambre des communes, aurait dit :

 

 « Tant qu'il y aura ce livre [le Coran], il n'y aura pas de paix dans le monde ».

« As long as there is this book, there will be no peace in the world ».

 

Cité dans Rafiq Zakaria, Muhammad et le Coran (Penguin Books, 1991), p. 59.

 

Variante: "Tant qu’un exemplaire de ce livre maudit aura été conservé, il ne pourra y avoir de justice au monde." 

 

Cité dans Paul G. Lauren, éd., L'héritage de China Hands: Éthique et diplomatie (Westview Press, 1987), p. 136.

 

«Gladstone ... a jeté le Coran dans un placard et a déclaré:" Il n'y aura pas de silence dans le monde tant que cela restera ».

 

Rapporté dans Officiers de l'armée dans Arab Politics and Society (1970) par Eliezer Bee̓ri, p. 367.

 

Cette citation a été fabriquée dans un document allemand de 1915 intitulé " Kriegsurkunden. 17. Fatwa des Scheich es-Saijid Hibet ed-Din esch-Schahrastani en-Nedschefi über die Freundschaft der Muslime avec den Deutschen ", à une époque où les Allemands tentaient de persuader les nations arabes de se ranger à leurs côtés plutôt que les Britanniques. 

 

La "citation" a été "découverte" dans les années 1950 et largement reprise par les Frères musulmans et la presse égyptienne dans le cadre d'une campagne visant à soustraire l'influence britannique à l'Égypte. Il n'y a pas de documents contemporains crédibles et le hansard [compte-rendu des débats au parlement britanique] ne contient aucun enregistrement de la déclaration.

Source : https://en.wikiquote.org/wiki/William_Ewart_Gladstone

 

6      Citations sur le fanatisme, l’ignorance et l’aliénation

 

« Rien n'est plus dangereux que lorsque l'ignorance et l'intolérance sont armées de pouvoir », Voltaire.

 

« Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités, peuvent vous faire commettre des atrocités », Voltaire.

 

« Le système d'oppression le plus efficace est celui qui réussit à convaincre l'opprimé du bien-fondé de son oppression », in Anatomie de l'oppression, Inna Shevchenko, Pauline Hillier, Le Seuil (ou Waleed Al-Husseini ?).

 

« Quand l'ignorance devient la norme, la vérité quant à elle devient un péché », Kateb Yacine.

 

Friedrich Wilhelm Nietzsche :

« Il y'a deux types différents de gens dans le monde : ceux qui veulent savoir, et ceux qui veulent croire ».

« La croyance: ne pas vouloir connaître la vérité ».

« Je ne peux pas croire en un dieu qui veut être loué tout le temps ».

 

7      Bibliographie

 

a) https://fr.wikipedia.org/wiki/Critique_de_l%27islam,

b) http://www.stop-islam.org/philosophie/le-coran-vu-par-les-philosophes,

c) http://www.islamzoom.com/islam/la-verite-sur-l-islam.php,

d) Savez-vous ce qu'ils ont dit sur Lui ? Site Officiel de l'Association des Musulmans d'Alsace (Mosquée Annour), http://www.amal-mulhouse.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=235:savez-vous-ce-qu-ils-ont-dit-sur-lui&catid=14&Itemid=187&lang=fr,

e) Le dernier des messagers, http://www.reponse-aux-islamologues.com/rep/ONFRAY/Entrees/2015/5/17_8._Le_Dernier_des_Messager.html

f) http://islamdanger.forumgratuit.org/t78-citations-a-propos-de-l-islam-et-encore

g) http://atheisme.free.fr/Contributions/Citations_islam.htm

h) https://la-voie-de-la-raison.blogspot.com/2016/06/citations-sur-lislam.html

i) Citations de personnes célèbre sur l'islam: De Voltaire à Nietzsche en passant par Victor Hugo, http://seddouki.foued.over-blog.fr/article-citations-de-personnes-celebre-sur-l-islam-voltaire-bonaparte-victor-hugo-montesquieu-lamartine-goe-112051779.html

j) Citations : Coran, http://atheisme.free.fr/Citations/Coran.htm

k) Toutes les citation de Mahomet, se meilleurs pensées, https://citations.ouest-france.fr/citations-mahomet-538.html

l) Mahomet, https://fr.wikiquote.org/wiki/Mahomet

 

8         Table des matières

2       Contre - Critiques négatives. 1

3       Pour – Eloges et défenses de l’Islam.. 19

4       Citation du prophète Mahomet (Muhammad). 25

5       Citations fausses et/ou contestées. 27

6       Citations sur le fanatisme, l’ignorance et l’aliénation. 28

7       Bibliographie. 28

 

 



[1] a) Anne-Marie Delcambre, L'islam des interdits, Desclée de Brouwer, 2003, p.73.

b) Sciences arabes, https://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_arabes

[2] 1) A la télévision égyptienne, 5 févr. 2013. Sources :

a) https://en.wikipedia.org/wiki/Yusuf_al-Qaradawi, b) https://www.youtube.com/watch?v=huMu8ihDlVA.

2) Cheikh Youssef al-Qaradâwî, théologien, prédicateur et universitaire qatari d'origine égyptienne, Président de l'Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas), Membre de la confrérie des Frères musulmans, Membre du Conseil Européen pour la Recherche et la Fatwa, et Consultant religieux pour Al Jazeera, auteur du "Le licite et l'illicite en Islam".

[3] En 2002. Source : « Les droits de l'homme érigés en religion détruisent les nations », Alexandre Devecchio, 20/06/2016, http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/06/17/31003-20160617ARTFIG00364-les-droits-de-l-homme-eriges-en-religion-detruisent-les-nations.php

[4] Intervenant sur la chaîne Al Jazeera le 30 janvier 2009, où Al-Qaradâwî tient ces propos in Institut de recherche des médias du Moyen-Orient, « Le cheikh Qaradhawi : Allah a imposé Hitler aux Juifs pour les punir. Si Allah veut, la prochaine fois par la main des croyants », sur memri.org, 2 février 2009, http://www2.memri.org/bin/french/latestnews.cgi?ID=FD8409

[5] a) Cf. https://muflihun.com/bukhari/89/260 . b) un musulman a le droit de rompre un serment, si cela sert ses intérêts.

[6] Voir aussi a) « Allah m'a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu'il m'a commandé d'édicter des obligations [religieuses] », b) « celui qui vit dans la dissimulation meurt en martyr. Cf. Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma'ani fi Tafsir al-Coran al-'Azim wa' l-Saba' al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-'Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.

[7] Cf. https://muflihun.com/bukhari/49/861

[8] Interdiction de se refuser à son époux de jouir d’elle.

[9] a) Les femmes sont déficientes en intelligence et en religion.

b) Voir https://wikiislam.net/wiki/Women_are_Deficient_in_Intelligence

[10] Cette traduction française est édulcorée puisque le vrai mot arabe est   « عنف, agressées » et non « offensées.

[11] Cette tradition a également été transmise par Ibn Mas'ud du Prophète (que la paix soit sur lui) dans le même sens, par le biais d'une chaîne de narrateurs différente.

(1694)Chapter: The Offspring Of Polytheists(18)باب فِي ذَرَارِيِّ الْمُشْرِكِينَ

‘Amir reported the Messenger of Allah (May peace be upon him) as saying :

The woman who buries alive her new-born girl and the girl who is buried alive both will go to Hell. This tradition has also been transmitted by Ibn Mas’ud from the Prophet (May peace be upon him) to the same effect through a different chain of narrators

Grade     : Sahih (Al-Albani)

Reference: Sunan Abi Dawud 4717

In-book reference: Book 42, Hadith 122

English translation: Book 41, Hadith 4699

Source : https://sunnah.com/abudawud/42/122